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Le jour de Jéhovah est proche!

"Hélas pour ce jour ! parce que le jour de Jéhovah est proche, et comme un pillage venant du Tout-Puissant, il arrivera (...) Sonnez du cor dans Sion et poussez un cri de guerre dans ma montagne sainte. Que tous les habitants du pays s’agitent ; car le jour de Jéhovah vient, car il est proche. 2 C’est un jour de ténèbres et d’obscurité, un jour de nuages et d’obscurité épaisse, comme la lumière de l’aurore déployée sur les montagnes" (Joël 1:15 ; 2:1,2). Ce Jour sera la Grande Tribulation mentionnée par Jésus-Christ (Matthieu 24:21).


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Continuez à faire ceci en souvenir de moi

(Luc 22:19)


La célébration du souvenir de la mort de Jésus-Christ aura lieu le Dimanche 21 avril 2024, après le coucher du soleil (14 Nisan du calendrier Juif, selon le calcul basé sur la nouvelle lune astronomique). Comment effectuer cette célébration, soit en famille ou en congrégation ? Les indications simples et précises sont écrites dans les liens ci-dessous, dans les quatre langues principales du présent site, mais aussi, en plus de 70 autres langues, en cliquant sur le liens "Autres langues (section 4)".

 

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L'espérance chrétienne de la vie éternelle

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BIBLE EN LIGNE        

Afin de faire comprendre à ses disciples qu’il avait été effectivement ressuscité d’entre les morts, il revêtait différents un corps humain, dont le visage n’était pas toujours reconnaissable par ses disciples

Afin de faire comprendre à ses disciples qu’il avait été effectivement ressuscité d’entre les morts, il revêtait différents un corps humain, dont le visage n’était pas toujours reconnaissable par ses disciples

Le récit des évangiles de la résurrection de Jésus-Christ pour renforcer notre foi dans l’espérance chrétienne de la vie éternelle

Introduction

L’objectif de cette méditation sur les différents récits de la résurrection de Jésus-Christ, est double: le premier est, comme l’indique le titre principal, d’encourager les personnes qui ont foi en l’espérance chrétienne de la résurrection et de la vie éternelle (Jean 3:16,36). Le deuxième, est de montrer que selon la Bible, elle est une garantie donnée par Dieu, que la résurrection des morts sera effective. C’est justement l’apôtre Paul qui l’écrit dans 1 Corinthiens chapitre 15, consacré tout spécialement sur ce thème de la résurrection. Alors que certaines personnes, dans la congrégation, disaient qu’il n’y aurait pas de résurrection, voici ce qu’écrivait l’apôtre Paul en réponse:

"Or, si Christ est prêché — qu’il a été relevé d’entre les morts, comment se fait-il que certains parmi vous disent qu’il n’y a pas de résurrection des morts ? Si vraiment il n’y a pas de résurrection des morts, Christ non plus n’a pas été relevé. Mais si Christ n’a pas été relevé, notre prédication, bien sûr, est vaine, et notre foi est vaine. Et même nous sommes trouvés de faux témoins de Dieu, parce que nous avons attesté contre Dieu qu’il a relevé le Christ, alors qu’il ne l’a pas relevé si vraiment les morts ne doivent pas être relevés. Car si les morts ne doivent pas être relevés, Christ non plus n’a pas été relevé. De plus, si Christ n’a pas été relevé, votre foi est inutile ; vous êtes encore dans vos péchés. Oui, aussi ceux qui se sont endormis dans la mort en union avec Christ ont péri. Et si c’est dans cette vie seulement que nous avons espéré en Christ, nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes" (1 Corinthiens 15:12-19 ; le lecteur qui le désire peut lire l’ensemble du chapitre 15, sur les différentes sortes de résurrections).

Un dernier point, cette fois-ci relatif aux différents récits des apparitions de Jésus-Christ ressuscité, et ce, pendant quarante jours, avant son ascension. Vous noterez quelque chose de surprenant, c’est que les disciples ne reconnaissaient pas tout de suite, comme si son visage avait changé. Il était reconnu par son ancienne gestuelle, telle que rompre le pain, ou la façon de prononcer le nom des proches telle que Marie Magdalène. Pourquoi ? En 1 Corinthiens 15:45 il est écrit: "Le premier homme Adam devint une âme vivante. ” Le dernier Adam est devenu un esprit donnant la vie". Ce texte montre que Jésus-Christ ressuscité a été relevé en tant qu’esprit, et un esprit ou ange ne se voit généralement pas avec les yeux humains. Afin de faire comprendre à ses disciples qu’il avait été effectivement ressuscité d’entre les morts, il revêtait un corps humain différent, dont le visage n’était pas toujours reconnaissable par ses disciples.


***


Une femme généreuse: "Elle a fait ce qu'elle a pu" (Marc 14:8)


"Et tandis qu’il était à Béthanie dans la maison de Simon le lépreux, alors qu’il était étendu à table, une femme vint avec un récipient d’albâtre rempli d’huile parfumée, un nard authentique, très cher. Ouvrant le récipient d’albâtre, elle se mit à verser l’[huile] sur sa tête. Mais il y en avait qui exprimaient entre eux leur indignation: “Pourquoi y a-t-il eu ce gaspillage d’huile parfumée? Car cette huile parfumée pouvait être vendue pour plus de trois cents deniers et être donnée aux pauvres!” Et ils s’irritaient beaucoup contre elle. Mais Jésus dit: “Laissez-la. Pourquoi voulez-vous lui causer des ennuis? Elle a fait une belle action à mon égard. Toujours, en effet, vous avez les pauvres avec vous, et quand vous voulez, vous pouvez toujours leur faire du bien, mais moi, vous ne m’avez pas toujours. Elle a fait ce qu’elle a pu; elle a entrepris d’avance de mettre de l’huile parfumée sur mon corps en vue de mon enterrement. Vraiment, je vous le dis: Partout où la bonne nouvelle sera prêchée dans le monde entier, on racontera aussi, en souvenir d’elle, ce que cette femme a fait” (Marc 14:3-9).


La générosité de cette femme, est semblable à celle de la veuve très pauvre qui a été remarquée par Jésus-Christ: "Or, comme il levait les yeux, il vit les riches qui mettaient leurs dons dans les troncs du trésor. Puis il vit une certaine veuve indigente qui y mettait deux petites pièces de monnaie de très peu de valeur, et il dit: “Je vous le dis, c’est la vérité: Cette veuve, bien que pauvre, a mis plus que tous. Car tous ceux-là ont mis des dons de leur superflu, mais cette [femme], de son indigence, a mis tout ce qu’elle avait pour vivre”" (Luc 21:1-4). Ainsi, Jésus-Christ remarque le moindre effort que nous faisons de tout cœur pour servir son Père au mieux que nous le pouvons (Matthieu 7:21).

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- Le courage de Joseph d’Arimathée qui demande à Pilate, le gouverneur romain de la Judée, le corps sans vie du Christ:


Lorsque nous lisons des récits historiques, dans ce cas, les évangiles, nous en connaissons la fin. Cependant, les personnages qui vivaient la situation parfois dangereuse et angoissante, ne connaissait pas les conséquences de leurs décisions courageuses, par exemple, l'emprisonnement ou toutes sortes de maltraitances. Parmi ces personnages courageux, que la Bible mentionne, est Joseph d’Arimathée, un homme qui a demandé le corps du Christ pour afin d'avoir une sépulture convenable. La noblesse de Joseph d’Arimathée , par son geste, est qu’il a mis à disposition sa tombe, qu’il avait tout spécialement préparé pour lui (Joseph d’Arimathée), pour le corps mort du Christ. Le récit de Marc 15, le décrit comme un homme "honorable" et son acte auprès de Pilate, qui avait décrété la condamnation à mort du Christ, comme un acte "courageux".

"Or, comme on était à la fin de l’après-midi, arriva un homme riche d’Arimathée, nommé Joseph, qui lui aussi était devenu un disciple de Jésus. Cet homme s’avança vers Pilate et demanda le corps de Jésus. Alors Pilate ordonna de le remettre. Et Joseph prit le corps, l’enveloppa dans un fin lin pur, et le déposa dans sa tombe de souvenir toute neuve, celle qu’il avait creusée dans le roc. Et, après avoir roulé une grosse pierre à l’entrée de la tombe de souvenir, il s’en alla. Mais Marie la Magdalène et l’autre Marie restèrent là, assises devant la tombe" (Matthieu 27:57-61).

"Or, comme on était déjà à la fin de l’après-midi, et puisque c’était la Préparation, c’est-à-dire la veille du sabbat, arriva Joseph d’Arimathée, membre honorable du Conseil, qui lui aussi attendait le royaume de Dieu. Il eut le courage d’entrer chez Pilate et demanda le corps de Jésus. Mais Pilate s’étonna qu’il soit déjà mort et, faisant appeler l’officier, il lui demanda s’il était déjà mort. Et après s’en être assuré auprès de l’officier, il octroya le cadavre à Joseph. Alors celui-ci acheta du fin lin et descendit Jésus, il l’enveloppa dans le fin lin et le déposa dans une tombe qui était creusée dans le roc ; et il roula une pierre jusqu’à l’entrée de la tombe de souvenir. Mais Marie la Magdalène et Marie la mère de Joses continuaient à regarder où on l’avait déposé" (Marc 15:42-47).

"Or, après ces choses, Joseph d’Arimathée, qui était un disciple de Jésus, mais en secret à cause de la peur qu’il avait des Juifs, demanda à Pilate la permission d’enlever le corps de Jésus ; et Pilate le lui permit. Il vint donc et enleva son corps. Nicodème, l’homme qui, la première fois, était venu vers lui de nuit, vint aussi, apportant un rouleau de myrrhe et d’aloès, environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de bandes avec les aromates, comme les Juifs ont coutume de préparer un enterrement. Or, à l’endroit où il avait été attaché sur un poteau il y avait un jardin, et dans le jardin une tombe de souvenir toute neuve, dans laquelle personne encore n’avait été déposé. C’est donc là, à cause de la préparation des Juifs, qu’ils déposèrent Jésus, parce que la tombe de souvenir était proche" (Jean 19:38-42).

- Le lendemain de la mort du Christ, le 15 Nisan (Mois du calendrier biblique juif) Les prêtres en chef et les pharisiens s’assurent que le tombeau du Christ soit à la fois bien scellé et gardé par deux soldats:

"Le lendemain, qui était le jour après la Préparation, les prêtres en chef et les Pharisiens se rassemblèrent devant Pilate et dirent : “ Monsieur, nous nous sommes rappelé que cet imposteur a dit, quand il vivait encore : ‘ Après trois jours je dois être relevé. ’ Ordonne donc qu’on s’assure de la tombe jusqu’au troisième jour, de peur que ses disciples ne viennent le dérober et ne disent au peuple : ‘ Il a été relevé d’entre les morts ! ’ et cette dernière imposture sera pire que la première. ” Pilate leur dit : “ Vous avez une garde. Allez, assurez-vous de la tombe comme vous l’entendez. ” Ils allèrent donc s’assurer de la tombe, en scellant la pierre et en mettant la garde" (Matthieu 27:62-66).

- Jésus-Christ ressuscité apparaît aux femmes qui venaient très tôt au matin du dimanche 16 Nisan :

"Après le sabbat, alors qu’il commençait à faire clair le premier jour de la semaine, Marie la Magdalène et l’autre Marie vinrent regarder la tombe. Et, voyez, il y avait eu un grand tremblement de terre ; car l’ange de Jéhovah était descendu du ciel, s’était avancé et avait roulé la pierre, et il était assis sur elle. Son apparence était comme l’éclair, et son vêtement blanc comme la neige. Oui, dans la peur qu’ils en eurent, les gardes tremblèrent et devinrent comme morts. Mais l’ange, en réponse, dit aux femmes : “ N’ayez pas peur, vous ; car je sais que vous cherchez Jésus qui a été attaché sur un poteau. Il n’est pas ici, car il a été relevé, comme il l’avait dit. Venez, voyez l’endroit où il était couché. Et allez vite dire à ses disciples qu’il a été relevé d’entre les morts, et voici qu’il vous précède en Galilée ; c’est là que vous le verrez. Voilà, je vous l’ai dit. ” Quittant donc vite la tombe de souvenir, avec crainte et grande joie, elles coururent porter la nouvelle à ses disciples. Et, voyez, Jésus vint à leur rencontre et dit : “ Bonjour ! ” Elles s’avancèrent, le saisirent par les pieds et lui rendirent hommage. Alors Jésus leur dit : “ N’ayez pas peur. Allez porter la nouvelle à mes frères, afin qu’ils aillent en Galilée ; et c’est là qu’ils me verront”" (Matthieu 28:1-10).

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- Les femmes annoncent la bonne nouvelle de la résurrection de Jésus-Christ aux 11 apôtres qui ne les croient pas:

"Le premier jour de la semaine, cependant, elles se rendirent de très bonne heure à la tombe, portant les aromates qu’elles avaient préparés. 2 Mais elles trouvèrent la pierre roulée de devant la tombe de souvenir, et quand elles entrèrent, elles ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus. Tandis qu’elles étaient perplexes à ce sujet, voyez : deux hommes en vêtements éblouissants se tinrent près d’elles.  Comme les femmes étaient saisies de peur et tenaient leur visage incliné vers le sol, ils leur dirent : “ Pourquoi cherchez-vous le Vivant parmi les morts ?  [Il n’est pas ici, mais il a été relevé.] Rappelez-vous comment il vous a parlé quand il était encore en Galilée, disant que le Fils de l’homme devait être livré aux mains d’hommes pécheurs, et être attaché sur un poteau, et pourtant le troisième jour ressusciter. ” Elles se rappelèrent alors ses paroles, et elles s’en retournèrent de la tombe de souvenir et racontèrent toutes ces choses aux onze et à tous les autres. C’étaient la Magdalène Marie, et Jeanne, et Marie la mère de Jacques. Les autres femmes aussi qui étaient avec elles disaient ces choses aux apôtres. Cependant, ces paroles leur apparurent comme une absurdité, et ils refusèrent de croire les femmes" (Luc 24:1-11).

- Pierre et Jean courent à la tombe pour vérifier la véracité des témoignages des femmes:

"Le premier jour de la semaine, Marie la Magdalène vint de bonne heure à la tombe de souvenir, alors qu’il faisait encore sombre, et elle aperçut la pierre déjà enlevée de la tombe de souvenir. Elle courut donc et vint vers Simon Pierre et vers l’autre disciple, celui pour qui Jésus avait de l’affection, et elle leur dit : “ Ils ont enlevé le Seigneur de la tombe de souvenir, et nous ne savons pas où ils l’ont mis. ” Alors Pierre et l’autre disciple sortirent et se mirent en route pour la tombe de souvenir. Oui, tous les deux ensemble se mirent à courir ; mais l’autre disciple, qui allait à plus grande allure, devança Pierre à la course et arriva le premier à la tombe de souvenir. Et, se penchant, il aperçut les bandes posées là ; pourtant il n’entra pas. Alors arriva aussi Simon Pierre, qui le suivait, et il entra dans la tombe de souvenir. Et il vit les bandes posées là, et aussi le tissu qui s’était trouvé sur sa tête, non pas posé avec les bandes, mais roulé à part en un seul endroit.  À ce moment donc, l’autre disciple, qui était arrivé le premier à la tombe de souvenir, entra aussi, et il vit et crut.  Car ils ne discernaient pas encore la parole de l’Écriture : qu’il devait ressusciter d’entre les morts. Et ainsi les disciples s’en retournèrent chez eux" (Jean 20:1-10).

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- Marie Magdalène rencontre Jésus-Christ ressuscité, qu’elle ne reconnaît pas et le prend pour le jardinier:

"Marie, cependant, se tenait dehors, près de la tombe de souvenir, et pleurait. Alors, tandis qu’elle pleurait, elle se pencha pour regarder dans la tombe de souvenir ; et elle vit deux anges en blanc, assis, un à la tête et un aux pieds, là où s’était trouvé posé le corps de Jésus. Et ils lui dirent : “ Femme, pourquoi pleures-tu ? ” Elle leur dit : “ Ils ont enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où ils l’ont déposé. ” Après avoir dit ces choses, elle se tourna en arrière et vit Jésus qui se tenait là, mais elle ne discernait pas que c’était Jésus. Jésus lui dit : “ Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? ” Elle, pensant que c’était le jardinier, lui dit : “ Monsieur, si tu l’as emporté, dis-moi où tu l’as mis, et je l’enlèverai. ”  Jésus lui dit : “ Marie ! ” Se retournant, elle lui dit, en hébreu : “ Rabbouni ! ” (ce qui signifie “ Enseignant ! ”).  Jésus lui dit : “ Cesse de te cramponner à moi. Car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va-t’en vers mes frères et dis-leur : ‘ Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu. ’ ” Marie la Magdalène vint annoncer aux disciples : “ J’ai vu le Seigneur ! ” — et qu’il lui avait dit ces choses" (Jean 20:11-18).

- Deux disciples discutent avec Jésus-Christ ressuscité, sans le savoir, sur le chemin d’Emmaüs:

" Mais, voyez, ce même jour deux d’entre eux faisaient route vers un village distant de Jérusalem d’environ onze kilomètres [et] nommé Emmaüs, et ils conversaient entre eux de toutes ces choses qui étaient arrivées. Or, comme ils conversaient et discutaient, Jésus lui-même s’approcha et se mit à marcher avec eux ; mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.  Il leur dit : “ Quelles sont ces questions que vous débattez entre vous tout en marchant ? ” Et ils s’arrêtèrent, le visage triste. En réponse l’un d’eux, nommé Cléopas, lui dit : “ Est-ce que comme étranger tu habites à part dans Jérusalem, que tu ne saches pas les choses qui y sont arrivées ces jours-ci ? ” Et il leur dit : “ Quelles choses ? ” Ils lui dirent : “ Les choses concernant Jésus le Nazaréen, qui était devenu un prophète puissant en œuvre et en parole devant Dieu et tout le peuple ; et comment nos prêtres en chef ainsi que nos chefs l’ont livré à la sentence de mort et l’ont attaché sur un poteau. Mais nous espérions que cet homme était celui qui doit délivrer Israël ; oui, et en plus de tout cela, on est au troisième jour depuis que ces choses sont arrivées. D’autre part, certaines femmes d’entre nous, nous ont aussi stupéfiés, parce qu’elles étaient de bonne heure à la tombe de souvenir mais n’ont pas trouvé son corps, et elles sont venues dire qu’elles avaient même vu un spectacle surnaturel d’anges, qui ont dit qu’il est vivant. De plus, quelques-uns de ceux qui sont avec nous sont allés à la tombe de souvenir ; et ils ont trouvé les choses ainsi, comme les femmes l’avaient dit, mais lui, ils ne l’ont pas vu. ” Alors il leur dit : “ Ô [hommes] insensés et lents de cœur à croire à toutes les choses que les prophètes ont prononcées ! Ne fallait-il pas que le Christ subisse ces choses et qu’il entre dans sa gloire ? ” Et, commençant par Moïse et tous les Prophètes, il leur interpréta dans toutes les Écritures les choses qui le concernaient. Finalement ils arrivèrent près du village où ils se rendaient et il fit comme s’il allait plus loin. Mais ils firent pression sur lui, en disant : “ Reste avec nous, parce que le soir arrive et le jour a déjà décliné. ” Là-dessus il entra pour rester avec eux. Et comme il était étendu à table avec eux, il prit le pain, le bénit, et, l’ayant rompu, il le leur remettait. Alors leurs yeux s’ouvrirent pleinement et ils le reconnurent ; et il disparut de devant eux. Et ils se dirent l’un à l’autre : “ Notre cœur ne brûlait-il pas lorsqu’il nous parlait sur la route, lorsqu’il nous ouvrait pleinement les Écritures ? ” Et à cette heure-là même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem ; et ils trouvèrent réunis les onze et ceux qui étaient avec eux, disant : “ Réellement, le Seigneur a été relevé et il est apparu à Simon ! ” Alors eux-mêmes racontèrent les choses qui étaient arrivées sur la route et comment il s’était fait connaître à eux lorsqu’il a rompu le pain" (Luc 24:13-35).

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- Jésus-Christ ressuscité se présente à ses disciples:

"Tandis qu’ils parlaient de ces choses, lui-même se tint au milieu d’eux et leur dit : “ Paix à vous. ” Mais parce qu’ils étaient terrifiés et avaient été saisis de peur, ils pensaient voir un esprit. Alors il leur dit : “ Pourquoi êtes-vous troublés, et pourquoi des doutes montent-ils dans vos cœurs ? Voyez mes mains et mes pieds : que c’est moi-même ; palpez-moi et voyez, parce qu’un esprit n’a ni chair ni os, comme vous constatez que j’en ai. ” Et comme il disait cela, il leur montra ses mains et ses pieds. Et tandis que, de joie uniquement, ils ne croyaient pas encore et s’étonnaient, il leur dit : “ Avez-vous ici quelque chose à manger ? ” Et ils lui remirent un morceau de poisson grillé ; et il le prit et le mangea sous leurs yeux. Il leur dit alors : “ Ce sont ici mes paroles que je vous ai dites quand j’étais encore avec vous : qu’il fallait que s’accomplissent toutes les choses qui sont écrites à mon sujet dans la loi de Moïse et dans les Prophètes et les Psaumes. ” Alors il leur ouvrit pleinement l’intelligence pour saisir le sens des Écritures, et il leur dit : “ Ainsi il est écrit que le Christ souffrirait et ressusciterait d’entre les morts le troisième jour, et qu’à cause de son nom la repentance pour le pardon des péchés serait prêchée dans toutes les nations — en commençant depuis Jérusalem, vous devez être témoins de ces choses. 49 Et, voyez, moi j’envoie sur vous ce qui est promis par mon Père. Vous, cependant, demeurez dans la ville jusqu’à ce que vous soyez revêtus de puissance venant d’en haut”" (Luc 24:36-49).

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- Jésus-Christ ressuscité se présente à l’apôtre Thomas qui ne croyait pas les autres disciples, lui informant qu’ils l’avaient vu à un moment où il n’était pas présent:

"Quand donc il se fit tard ce jour-là, le premier de la semaine, et alors que les portes étaient verrouillées là où se trouvaient les disciples, par peur des Juifs, Jésus vint et se tint au milieu d’eux et leur dit : “ Paix à vous. ” Et après avoir dit cela, il leur montra ses mains et aussi son côté. Alors les disciples se réjouirent en voyant le Seigneur. Jésus donc leur dit de nouveau : “ Paix à vous. Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie. ” Et après avoir dit cela, il souffla sur eux et leur dit : “ Recevez de l’esprit saint. Si vous pardonnez les péchés de n’importe quelles personnes, ils leur sont pardonnés ; si vous retenez ceux de n’importe quelles personnes, ils sont retenus. ” Mais Thomas, l’un des douze, celui qu’on appelait Le Jumeau, n’était pas avec eux quand Jésus était venu. Les autres disciples lui disaient donc : “ Nous avons vu le Seigneur ! ” Mais il leur dit : “ Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je n’enfonce pas mon doigt dans la marque des clous et si je n’enfonce pas ma main dans son côté, non je ne croirai pas. ” Eh bien, huit jours plus tard, ses disciples étaient de nouveau à l’intérieur, et Thomas avec eux. Jésus vint, alors que les portes étaient verrouillées, et il se tint au milieu d’eux et dit : “ Paix à vous. ” Puis il dit à Thomas : “ Mets ton doigt ici, et vois mes mains, et prends ta main et enfonce-la dans mon côté ; et cesse d’être incrédule, mais mets-toi à croire. ” En réponse Thomas lui dit : “ Mon Seigneur et mon Dieu ! ”  Jésus lui dit : “ Parce que tu m’as vu, tu as cru ? Heureux ceux qui ne voient pas et pourtant croient. ” Jésus, bien sûr, accomplit encore beaucoup d’autres signes devant ses disciples, [signes] qui ne sont pas écrits dans ce rouleau. Mais ceux-là ont été écrits pour que vous croyiez que Jésus est le Christ le Fils de Dieu, et pour que — parce que vous croyez — vous ayez la vie par le moyen de son nom" (Jean 20:19-31).

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- Jésus-Christ ressuscité sur la plage de la mer de Tibériade, se fait reconnaître à ses disciples par une pêche miraculeuse. Ensuite il encourage l’apôtre Pierre à faire paître ses brebis:

"Après ces choses, Jésus se manifesta de nouveau aux disciples, à la mer de Tibériade ; mais voici comment il se manifesta : Il y avait là ensemble Simon Pierre, Thomas qu’on appelait Le Jumeau, Nathanaël de Cana de Galilée, les fils de Zébédée et deux autres de ses disciples. Simon Pierre leur dit : “ Je m’en vais pêcher. ” Ils lui dirent : “ Nous venons aussi avec toi. ” Ils sortirent et montèrent dans le bateau, mais durant cette nuit-là ils n’attrapèrent rien. Cependant, comme le matin déjà venait, Jésus se tint sur la plage, mais les disciples, naturellement, ne discernaient pas que c’était Jésus. Alors Jésus leur dit : “ Petits enfants, vous n’avez rien à manger, n’est-ce pas ? ” Ils lui répondirent : “ Non. ” Il leur dit : “ Jetez le filet du côté droit du bateau et vous en trouverez. ” Alors ils le jetèrent, mais ils ne pouvaient plus le ramener à cause de la multitude des poissons.  Ce disciple donc que Jésus aimait dit à Pierre : “ C’est le Seigneur ! ” Alors Simon Pierre, en entendant que c’était le Seigneur, se ceignit de son vêtement extérieur, car il était nu, et se jeta à la mer. Mais les autres disciples vinrent dans le petit bateau — car ils n’étaient pas loin de la terre, seulement à quatre-vingt-dix mètres environ —, traînant le filet [plein] de poissons. Cependant, lorsqu’ils descendirent à terre, ils aperçurent, posé là, un feu de charbon de bois, et du poisson posé dessus, et du pain. Jésus leur dit : “ Apportez quelques-uns des poissons que vous venez d’attraper. ” Simon Pierre donc monta [dans le bateau] et tira à terre le filet plein de gros poissons : cent cinquante-trois. Mais bien qu’il y en eût tant, le filet ne se rompit pas. Jésus leur dit : “ Venez déjeuner. ” Aucun des disciples n’avait le courage de lui demander : “ Qui es-tu ? ” parce qu’ils savaient que c’était le Seigneur. Jésus vint et prit le pain et le leur donna, et de même le poisson. Ce fut là la troisième fois que Jésus apparut aux disciples après avoir été relevé d’entre les morts. Or, quand ils eurent déjeuné, Jésus dit à Simon Pierre : “ Simon fils de Jean, m’aimes-tu plus que ceux-ci ? ” Il lui dit : “ Oui, Seigneur, tu sais que j’ai de l’affection pour toi. ” Il lui dit : “ Fais paître mes agneaux. ” De nouveau il lui dit, une deuxième fois : “ Simon fils de Jean, m’aimes-tu ? ” Il lui dit : “ Oui, Seigneur, tu sais que j’ai de l’affection pour toi. ” Il lui dit : “ Mène paître mes petites brebis. ” Il lui dit, la troisième fois : “ Simon fils de Jean, as-tu de l’affection pour moi ? ” Pierre s’attrista de ce qu’il lui avait dit, la troisième fois : “ As-tu de l’affection pour moi ? ” Et il lui dit : “ Seigneur, tu connais toutes choses, tu te rends bien compte que j’ai de l’affection pour toi. ” Jésus lui dit : “ Fais paître mes petites brebis. Oui, vraiment, je te le dis : Quand tu étais plus jeune, tu te ceignais et tu circulais où tu voulais. Mais quand tu deviendras vieux, tu tendras les mains et un autre homme te ceindra et te portera où tu ne veux pas. ” Il dit cela pour indiquer par quel genre de mort il glorifierait Dieu. Et quand il eut dit cela, il lui dit : “ Continue à me suivre. ” En se retournant, Pierre vit le disciple que Jésus aimait les suivre, celui qui, au repas du soir, s’était aussi penché en arrière sur sa poitrine et avait dit : “ Seigneur, qui est celui qui te livre ? ” Aussi quand il l’aperçut, Pierre dit à Jésus : “ Seigneur, que fera cet [homme] ? ” Jésus lui dit : “ Si je veux qu’il reste jusqu’à ce que je vienne, en quoi cela te concerne-t-il ? Toi, continue à me suivre. ” Cette parole donc sortit parmi les frères : que ce disciple ne mourrait pas. Cependant Jésus ne lui avait pas dit qu’il ne mourrait pas, mais : “ Si je veux qu’il reste jusqu’à ce que je vienne, en quoi cela te concerne-t-il ? ” C’est ce disciple qui témoigne au sujet de ces choses et qui a écrit ces choses, et nous savons que le témoignage qu’il rend est vrai. Il y a, en effet, encore beaucoup d’autres choses que Jésus a faites ; si jamais on les écrivait dans le détail, le monde lui-même, j’imagine, ne pourrait contenir les rouleaux écrits" (Jean 21:1-25).

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- Les divers récits de l’ascension de Jésus-Christ ressuscité:

"Les onze disciples, cependant, se rendirent en Galilée, à la montagne où Jésus leur avait donné rendez-vous, et quand ils le virent, ils lui rendirent hommage, mais quelques-uns doutèrent. Et Jésus s’avança et leur parla, en disant : “Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez donc et faites des disciples de gens d’entre toutes les nations, les baptisant au nom du Père et du Fils et de l’esprit saint, leur enseignant à observer tout ce que je vous ai commandé. Et, voyez, je suis avec vous tous les jours jusqu’à l’achèvement du système de choses”" (Matthieu 28:16-20).

"Mais il les conduisit dehors jusqu’à Béthanie, et il leva les mains et les bénit. Comme il les bénissait, il fut séparé d’eux et commença à être emporté au ciel. Et ils lui rendirent hommage et retournèrent à Jérusalem avec une grande joie. Et ils étaient continuellement dans le temple, bénissant Dieu" (Luc 24:50-53).

"Or, quand ils se furent réunis, ils se mirent à lui demander : “Seigneur, est-ce en ce temps-ci que tu rétablis le royaume pour Israël ? ” Il leur dit : “ Il ne vous appartient pas de connaître les temps ou les époques que le Père a placés sous son propre pouvoir ; mais vous recevrez de la puissance lorsque l’esprit saint surviendra sur vous, et vous serez mes témoins non seulement à Jérusalem, mais aussi dans toute la Judée et la Samarie, et jusque dans la région la plus lointaine de la terre. ” Et après qu’il eut dit ces choses, tandis qu’ils regardaient, il fut élevé et un nuage le déroba à leur vue. Et comme ils fixaient le ciel pendant qu’il s’en allait, voici que deux hommes en vêtements blancs se tinrent à côté d’eux, et ils dirent : “ Hommes de Galilée, pourquoi vous tenez-vous là à regarder le ciel ? Ce Jésus qui a été enlevé d’auprès de vous dans le ciel viendra ainsi de la même manière que vous l’avez vu s’en aller au ciel”" (Actes 1:6-11).

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- Jésus-Christ glorifié apparaît à Saul de Tarse (qui s’appellera plus tard l’apôtre Paul), il est aveuglé pendant trois jours. Ensuite, il apparaît à un disciple nommé Ananias pour qu’il baptise Saul de Tarse:

"Mais Saul, respirant encore menace et meurtre contre les disciples du Seigneur, se rendit chez le grand prêtre et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas, afin qu’il puisse amener liés à Jérusalem tous ceux des membres de La Voie qu’il trouverait, hommes et femmes. Or comme il faisait route, il approchait de Damas, quand soudain une lumière venant du ciel brilla autour de lui, et il tomba à terre et entendit une voix qui lui disait : “ Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? ” Il dit : “ Qui es-tu, Seigneur ? ” Il dit : “ Je suis Jésus, que tu persécutes. Toutefois, lève-toi et entre dans la ville, et on te dira ce que tu dois faire. ”  Or les hommes qui faisaient route avec lui se tenaient là, tout interdits : ils entendaient bien le son d’une voix, mais ne voyaient personne. Mais Saul se releva de terre et, bien qu’il eût les yeux ouverts, il ne voyait rien. Ils le conduisirent donc par la main et le menèrent à Damas. 9 Et pendant trois jours il ne vit rien, et il ne mangea ni ne but. Il y avait à Damas un certain disciple nommé Ananias, et le Seigneur lui dit dans une vision : “ Ananias ! ” Il dit : “ Me voici, Seigneur. ” Le Seigneur lui dit : “ Lève-toi, va dans la rue appelée Droite, et, dans la maison de Judas, cherche un nommé Saul, de Tarse. Car voici qu’il est en train de prier, et dans une vision il a vu un homme nommé Ananias entrer et poser les mains sur lui pour qu’il retrouve la vue. ” 13 Mais Ananias répondit : “ Seigneur, j’ai entendu dire par beaucoup au sujet de cet homme combien de choses mauvaises il a faites à tes saints dans Jérusalem. Et ici il a pouvoir de la part des prêtres en chef pour lier tous ceux qui invoquent ton nom. ” Mais le Seigneur lui dit : “ Va, parce que cet homme est le vase que j’ai choisi pour porter mon nom aux nations ainsi qu’aux rois et aux fils d’Israël. 16 Car je lui montrerai clairement combien de choses il doit subir pour mon nom”" (Actes 9:1-16).

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- La vision de l’apôtre Jean, alors très âgé, de Jésus-Christ glorifié, dans le récit du livre de l’Apocalypse: Dans le Saint du Temple Sanctuaire:

"Moi, Jean, qui suis votre frère et qui ai part avec vous à la tribulation et au royaume et à l’endurance en compagnie de Jésus, je me suis trouvé dans l’île qui s’appelle Patmos parce que je parlais de Dieu et rendais témoignage à Jésus. Par inspiration je me suis trouvé au jour du Seigneur, et j’ai entendu derrière moi une voix forte comme celle d’une trompette, disant : “ Ce que tu vois, écris-le dans un rouleau et envoie-le aux sept congrégations : à Éphèse, et à Smyrne, et à Pergame, et à Thyatire, et à Sardes, et à Philadelphie, et à Laodicée. ” Et je me suis retourné pour voir la voix qui parlait avec moi ; et, m’étant retourné, j’ai vu sept porte-lampes d’or, et au milieu des porte-lampes quelqu’un de semblable à un fils d’homme, vêtu d’un vêtement qui lui allait jusqu’aux pieds, et ceint à hauteur des seins d’une ceinture d’or. Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige, et ses yeux comme une flamme de feu ; et ses pieds étaient semblables à du cuivre fin quand il est incandescent dans un four, et sa voix était comme le bruit des eaux nombreuses. Et il avait dans sa main droite sept étoiles, et de sa bouche sortait une longue épée aiguisée à double tranchant, et son visage était comme le soleil lorsqu’il brille dans sa puissance. Et quand je l’ai vu, je suis tombé comme mort à ses pieds. Et il a posé sa main droite sur moi et il a dit : “ N’aie pas peur. Je suis le Premier et le Dernier, et le vivant ; et je suis devenu un mort, mais, regarde, je suis vivant à tout jamais, et j’ai les clés de la mort et de l’hadès. Écris donc les choses que tu as vues, et celles qui sont et celles qui arriveront après celles-ci. Quant au saint secret des sept étoiles que tu as vues sur ma main droite et des sept porte-lampes d’or : Les sept étoiles représentent [les] anges des sept congrégations, et les sept porte-lampes représentent sept congrégations" (Révélation 1:9-20).

Cette vision qu’a eu l’apôtre Jean, alors âgé entre 90 et 100 ans (en 96 de notre ère), semble correspondre à la prédiction de Jésus-Christ ressuscité, qu’il a faite à l’apôtre Pierre, le concernant, à savoir que Jean verrait Jésus glorifié, lors de son retour (Jean 21 la partie de la conversation entre Jésus et Pierre).

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- La vision de l’apôtre Jean de Jésus-Christ glorifié, dans le récit du livre de l’Apocalypse, en tant que cavalier qui sort pour paître les nations avec une épée bien aiguisée:

"Et j’ai vu quand l’Agneau a ouvert un des sept sceaux, et j’ai entendu une des quatre créatures vivantes dire comme d’une voix de tonnerre : “ Viens ! ” Et j’ai vu, et regardez ! un cheval blanc ; et celui qui était assis dessus avait un arc ; et on lui a donné une couronne, et il est sorti en vainqueur et pour mener à terme sa victoire" (Révélation 6:1,2).

"Et j’ai vu le ciel ouvert, et regardez ! un cheval blanc. Et celui qui était assis dessus s’appelle Fidèle et Véridique, et il juge et fait la guerre avec justice. Ses yeux sont une flamme de feu et sur sa tête sont de nombreux diadèmes. Il a un nom écrit que personne ne connaît, sauf lui, et il est revêtu d’un vêtement de dessus aspergé de sang, et le nom dont on l’appelle est La Parole de Dieu. Et les armées qui étaient dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, et elles étaient vêtues de fin lin, blanc et pur. Et de sa bouche sort une longue épée aiguisée, pour qu’il puisse frapper avec elle les nations, et il les fera paître avec un bâton de fer. Il foule aussi le pressoir à vin de la fureur de la colère de Dieu le Tout-Puissant. Et sur son vêtement de dessus, oui sur sa cuisse, il a un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs" (Révélation 19:11-16).

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- Les visions de l’Apocalypse, concernant Jésus-Christ glorifié en tant que Roi et Grand Prêtre, devraient nous faire réfléchir. Jésus-Christ n’est plus un nourrisson inoffensif dans une crèche. Jésus-Christ n’est plus la représentation d’un homme sacrifié et mort, cloué par les mains et les pieds avec le côté percé par une lance. Jésus-Christ est actuellement un Roi et Grand prêtre qui a droit de vie et de mort sur chacun d’entre nous, les vivants, mais aussi sur les morts qui seront ressuscités. Jésus-Christ (Yehoshuah Mashiah) ressuscité, a dit, peu avant son ascension, que son Père Jéhovah Dieu (YHWH Elohim), lui avait donné toute autorité (Matthieu 28:19,20). De plus, voici deux passages bibliques qui illustreront ce point d’enseignement important, nous permettant de voir en Jésus-Christ un Roi actuellement en fonction, à la fois bienveillant, mais aussi redoutable (ou à craindre de manière révérencielle):

"Ce ne sont pas tous ceux qui me disent : ‘ Seigneur, Seigneur ’, qui entreront dans le royaume des cieux, mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Beaucoup me diront en ce jour-là : ‘ Seigneur, Seigneur, n’est-ce pas en ton nom que nous avons prophétisé, et en ton nom que nous avons expulsé des démons, et en ton nom que nous avons accompli de nombreuses œuvres de puissance ? ’ Et à eux pourtant je le confesserai alors : Je ne vous ai jamais connus ! Éloignez-vous de moi, vous qui pratiquez l’illégalité" (Matthieu 7:21-23).

"Quand le Fils de l’homme arrivera dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il s’assiéra sur son trône glorieux. Et toutes les nations seront rassemblées devant lui, et il séparera les gens les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres. Et il mettra les brebis à sa droite, mais les chèvres à sa gauche.

 “Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : ‘ Venez, vous qui avez été bénis par mon Père, héritez du royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde. Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire. J’étais étranger et vous m’avez accueilli avec hospitalité ; nu, et vous m’avez vêtu. Je suis tombé malade et vous avez pris soin de moi. J’étais en prison et vous êtes venus vers moi. ’  Alors les justes lui répondront en disant : ‘ Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim et t’avons-nous nourri, ou avoir soif et t’avons-nous donné à boire ? Quand est-ce que nous t’avons vu étranger et t’avons-nous accueilli avec hospitalité, ou nu et t’avons-nous vêtu ? Quand est-ce que nous t’avons vu malade ou en prison et sommes-nous allés vers toi ? ’ Et en réponse le roi leur dira : ‘ Vraiment, je vous le dis : Dans la mesure où vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. ’

 “Et alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : ‘ Allez-vous-en loin de moi, vous qui avez été maudits, dans le feu éternel préparé pour le Diable et ses anges. Car j’ai eu faim, mais vous ne m’avez pas donné à manger, et j’ai eu soif, mais vous ne m’avez pas donné à boire.  J’étais étranger, mais vous ne m’avez pas accueilli avec hospitalité ; nu, mais vous ne m’avez pas vêtu ; malade et en prison, mais vous n’avez pas pris soin de moi. ’ Alors eux aussi répondront en disant : ‘ Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim ou soif, ou étranger, ou nu, ou malade, ou en prison, et ne t’avons-nous pas servi ? ’ Alors il leur répondra en disant : ‘ Vraiment, je vous le dis : Dans la mesure où vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait. ’ Et ceux-ci s’en iront au retranchement éternel, mais les justes à la vie éternelle”" (Matthieu 25:31-46 ; lire aussi Psaume 2 et Révélation chapitres 1 à 3).

Les phrases en bleu (entre deux paragraphes), vous donnent des explications bibliques complémentaires et détaillées. Il suffit de cliquer sur le lien hypertexte en bleu. Les articles bibliques sont principalement rédigés en quatre langues : français, espagnol, portugais et anglais

La joie par l’espérance est l’énergie de notre endurance

"Mais, quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et relevez la tête, parce que votre délivrance approche"

(Luc 21:28)

Après avoir décrit des évènements dramatiques qui précèderaient la fin de ce système de choses, au moment qui devrait être le plus angoissant et que nous vivons actuellement, Jésus-Christ a dit à ses disciples de "relever la tête" parce que l’accomplissement de notre espérance s’approche.

Comment puiser de la joie au cœur des épreuves personnelles. L’apôtre Paul a écrit qu’il faut suivre le modèle de Jésus-Christ : "Ainsi donc, parce que nous avons une si grande nuée de témoins qui nous entoure, débarrassons-nous aussi de tout poids et du péché qui nous entrave facilement, et courons avec endurance la course qui est placée devant nous, tandis que nous avons les yeux fixés sur l’Agent principal de notre foi et Celui qui la porte à la perfection : Jésus. Pour la joie qui était placée devant lui, il a enduré un poteau de supplice, méprisant la honte, et s’est assis à la droite du trône de Dieu. Oui, considérez attentivement celui qui a enduré une telle contradiction de la part des pécheurs contre leurs propres intérêts, pour que vous ne vous fatiguiez pas et ne défailliez pas dans vos âmes" (Hébreux 12:1-3).

Jésus-Christ puisait l’énergie de son endurance, face aux épreuves, par la joie de l’espérance qui était placée devant lui. Il est important de puiser de l’énergie pour alimenter notre endurance, par la "joie" de notre espérance de la vie éternelle, placée devant nous. Pour ce qui est de nos épreuves, Jésus-Christ a dit de les résoudre au jour le jour: "Voilà pourquoi je vous dis : Arrêtez de vous inquiéter pour votre vie, au sujet de ce que vous mangerez ou de ce que vous boirez, ou pour votre corps, au sujet de ce que vous mettrez. La vie n’est-​elle pas plus importante que la nourriture, et le corps plus important que les vêtements ?  Observez les oiseaux : ils ne sèment pas, ne moissonnent pas et ne font pas de réserves ; pourtant, votre Père céleste les nourrit. N’avez-​vous pas plus de valeur qu’eux ?  Qui de vous, en s’inquiétant, peut allonger, même un peu, la durée de sa vie ? Et pourquoi vous inquiétez-​vous au sujet de ce que vous allez mettre ? Regardez ce que vous apprennent les lis des champs : ils poussent sans effort et ne tissent pas de vêtements.  Mais je vous dis que même Salomon, dans toute sa gloire, n’a jamais été habillé comme l’un d’eux.  Si Dieu habille ainsi la végétation des champs, qui est là aujourd’hui, mais qui sera jetée au feu demain, ne vous habillera-​t-​il pas à plus forte raison, gens de peu de foi ?  Ne vous inquiétez donc jamais+, disant : “Qu’allons-​nous manger ?” ou : “Qu’allons-​nous boire ?” ou : “Qu’allons-​nous mettre ?”  Ce sont là les choses dont les nations se préoccupent beaucoup. Votre Père céleste sait que vous avez besoin de toutes ces choses" (Matthieu 6:25-32). Le principe est simple, nous devons utiliser le présent pour résoudre nos problèmes qui se présentent au fur et à mesure, en mettant notre confiance en Dieu, pour nous aider à trouver une solution: "Donc, continuez à chercher d’abord le Royaume et la justice de Dieu, et toutes ces autres choses vous seront ajoutées.  Et ne vous inquiétez jamais du lendemain, car le lendemain aura ses propres inquiétudes. À chaque jour ses problèmes" (Matthieu 6:33,34). L’application de ce principe nous aidera à gérer au mieux l’énergie mentale et émotionnelle pour faire face à nos problèmes journaliers. Jésus-Christ déconseille l’anticipation excessive, voir morbide, des problèmes ou des épreuves qui pourraient encombrer notre esprit et générer des sentiments morbides de peur et de frayeur, ce qui pourrait, à terme, nous enlever toute énergie spirituelle (Comparer avec Marc 4:18,19).

Pour revenir à l’encouragement écrit en Hébreux 12:1-3, nous devons utiliser notre capacité mentale à nous projeter dans le futur par le moyen de la joie dans l’espérance, qui fait partie du fruit de l’esprit saint: "Par contre, le fruit de l’esprit est amour, joie, paix, patience, bienveillance, bonté, foi,  douceur, maîtrise de soi. Il n’y a pas de loi contre de telles choses" (Galates 5:22,23). Il est écrit dans la Bible que Jéhovah est un Dieu heureux et que le chrétien prêche une "bonne nouvelle d’un Dieu heureux" (1 Timothée 1:11). Alors que ce système de choses n’a jamais été autant dans l’obscurité spirituelle, nous devons être des foyers de lumière par la bonne nouvelle que nous partageons, mais aussi par la joie de notre espérance que nous voulons irradier sur les autres: "Vous êtes la lumière du monde. Une ville ne peut pas être cachée quand elle se trouve sur une montagne.  Si on allume une lampe, ce n’est pas pour la mettre sous un panier, mais sur un porte-lampe ; et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison.  De même, que votre lumière brille devant les hommes pour qu’ils voient vos belles actions et rendent gloire à votre Père qui est au ciel" (Matthieu 5:14-16). L’article qui suit, basé sur l’espérance de la vie éternelle, a été élaboré dans cet objectif de la joie dans l’espérance : "Réjouissez-vous et bondissez de joie, puisque votre récompense est grande dans les cieux" (Matthieu 5:12). Faisons de la joie de Jéhovah notre forteresse: "Ne soyez pas peinés, car la joie de Jéhovah est votre forteresse” (Néhémie 8:10).

"oui, tu ne seras que joyeux" (Deutéronome 16:15)

LA VIE ÉTERNELLE PAR LA LIBÉRATION DE L'HUMANITÉ DE L'ESCLAVAGE DU PÉCHÉ 

LA LIBÉRATION PAR L’APPLICATION DE LA RANÇON DU SACRIFICE DU CHRIST

 "De même que le Fils de l’homme est venu, non pas pour être servi, mais pour servir et donner son âme comme rançon en échange de beaucoup"

 (Matthieu 20:28)

"Et Jéhovah lui-même fit s’en retourner l’état de captif de Job lorsqu’il pria en faveur de ses compagnons, et Jéhovah se mit à donner en outre tout ce qui avait été à Job, au double" (Job 42:10). Il est sera de même de tous les membres de la Grande Foule qui auront survécu à la Grande Tribulation. Jéhovah Dieu, par le moyen du Roi Jésus-Christ, se souviendra d'eux affectueusement en les comblant de bénédictions, comme l'a rappelé le disciple Jacques : "Voyez ! Nous déclarons heureux ceux qui ont enduré. Vous avez entendu parler de l’endurance de Job et vous avez vu le dénouement que Jéhovah a amené, [et vous avez constaté] que Jéhovah est plein de tendre affection et miséricordieux" (Jacques 5:11).

LA LIBÉRATION PAR L’APPLICATION DE LA RANÇON PERMETTRA LA FIN DE LA MALADIE:

"Aucun habitant ne dira : “ Je suis malade. ” Le peuple qui habite dans [le pays] verra sa faute pardonnée" (Isaïe 33:24).

"À cette époque s’ouvriront les yeux des aveugles, et s’ouvriront les oreilles des sourds. 6 À cette époque le boiteux grimpera comme le cerf, et la langue du muet poussera des cris de joie. Car des eaux auront jailli dans le désert et des torrents dans la plaine désertique" (Isaïe 35:5,6).

LA LIBÉRATION PAR L’APPLICATION DE LA RANÇON PERMETTRA LE RAJEUNISSEMENT:

"Que sa chair devienne plus fraîche que dans la jeunesse, qu’il revienne aux jours de sa vigueur juvénile. ’" (Job 33:25).

LA LIBÉRATION PAR L’APPLICATION DE LA RANÇON PERMETTRA LA RÉSURRECTION DES MORTS:

"Et beaucoup de ceux qui sont endormis dans le sol de poussière se réveilleront, ceux-ci pour la vie de durée indéfinie" (Daniel 12:2).

"j’ai [cette] espérance envers Dieu, espérance que ces [hommes] nourrissent eux aussi, qu’il va y avoir une résurrection tant des justes que des injustes" (Actes 24:15) (L'administration de la résurrection terrestre; La résurrection céleste; La résurrection terrestre)

LE ROYAUME DE DIEU ADMINISTRERA LA TERRE:

"Et j’ai vu un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car l’ancien ciel et l’ancienne terre avaient disparu, et la mer n’est plus. J’ai vu aussi la ville sainte, la Nouvelle Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu, et préparée comme une épouse parée pour son mari. Alors j’ai entendu une voix forte venant du trône dire : “ Voyez ! La tente de Dieu est avec les humains, et il résidera avec eux, et ils seront ses peuples. Et Dieu lui-même sera avec eux. Et il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; ni deuil, ni cri, ni douleur ne seront plus. Les choses anciennes ont disparu. ” (Révélation 21:1-4) (L'administration terrestre du Royaume de Dieu; Le Prince; Les Prêtres; Les Lévites).

"Réjouissez-vous en Jéhovah et soyez joyeux, vous les justes ; et poussez des cris de joie, vous tous qui avez le cœur droit !" (Psaumes 32:11)

Les justes vivront éternellement

et les méchants disparaitront

"Heureux ceux qui sont doux de caractère, puisqu’ils hériteront de la terre" (Matthieu 5 :5).

"Un peu de temps encore, et le méchant ne sera plus ; oui, tu examineras son lieu, et il ne sera pas. Mais les humbles posséderont la terre, et vraiment ils se délecteront de l’abondance de paix. Le méchant complote contre le juste, il grince des dents contre lui. Jéhovah lui-même rira de lui, car il voit bien que son jour arrivera. Les méchants ont tiré l’épée et tendu leur arc pour faire tomber l’homme affligé et pauvre, pour abattre ceux qui sont droits dans leur voie. Leur épée entrera dans leur cœur, et leurs arcs seront brisés. (…) Car les méchants périront, et les ennemis de Jéhovah seront comme ce que les prés ont de précieux ; oui, ils s’évanouiront. Oui, ils s’évanouiront en fumée (…) Car les bras des méchants seront brisés, mais Jéhovah soutiendra les justes. (…) Les justes posséderont la terre, et sur elle ils résideront pour toujours. (…) Espère en Jéhovah et garde sa voie, et il t’élèvera pour prendre possession de la terre. Quand les méchants seront retranchés, tu le verras (…) Observe l’homme intègre et ne cesse de regarder l’homme droit, car l’avenir de cet homme sera paisible. Mais les transgresseurs seront bel et bien anéantis ensemble, oui l’avenir des méchants sera retranché. Et le salut des justes vient de Jéhovah ; il est leur forteresse au temps de la détresse. Jéhovah les secourra et les fera échapper. Il les fera échapper aux méchants et les sauvera, parce qu’ils se sont réfugiés en lui" (Psaumes 37:10-15, 17, 20, 29, 34, 37-40).

"C’est afin que tu marches dans la voie des bons et que tu gardes les sentiers des justes. Car les hommes droits sont ceux qui résideront sur la terre, et les hommes intègres sont ceux qui y resteront. Quant aux méchants, ils seront retranchés de la terre ; et les traîtres, eux, en seront arrachés. (..) Les bénédictions sont pour la tête du juste, mais la bouche des méchants couvre la violence. Le souvenir du juste est en bénédiction, mais le nom des méchants pourrira" (Proverbes 2:20-22 ; 10:6,7).

Les guerres cesseront, il y aura la paix dans les cœurs et sur toute la terre

"Vous avez entendu qu’il a été dit : ‘ Tu dois aimer ton prochain et haïr ton ennemi. ’ Cependant moi je vous dis : Continuez d’aimer vos ennemis et de prier pour ceux qui vous persécutent ; afin de vous montrer fils de votre Père qui est dans les cieux, puisqu’il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons et qu’il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Car si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense avez-vous ? Les collecteurs d’impôts aussi n’en font-ils pas autant ? Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les gens des nations aussi n’en font-ils pas autant ? Vous devez donc être parfaits, comme votre Père céleste est parfait" (Matthieu 5:43-48).

"Car si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi ; mais si vous ne pardonnez pas aux hommes leurs fautes, votre Père non plus ne vous pardonnera pas vos fautes" (Matthieu 6 :14,15).

"Alors Jésus lui dit : “ Remets ton épée à sa place, car tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée"" (Matthieu 26 :52).

"Venez, voyez les actes de Jéhovah, comment il a mis des événements stupéfiants sur la terre. Il fait cesser les guerres jusqu’à l’extrémité de la terre. L’arc, il le brise, oui il met en pièces la lance ; il brûle les chariots au feu" (Psaumes 46:8,9).

"Oui, il rendra jugement au milieu des nations et remettra les choses en ordre concernant des peuples nombreux. Et ils devront forger leurs épées en socs et leurs lances en cisailles. Une nation ne lèvera pas l’épée contre une nation, et ils n’apprendront plus la guerre" (Esaïe 2:4).

"Et il arrivera sans faute, dans la période finale des jours, [que] la montagne de la maison de Jéhovah s’établira solidement au-dessus du sommet des montagnes, oui elle s’élèvera au-dessus des collines ; et vers elle devront affluer des peuples. Oui, des nations nombreuses iront et diront : “ Venez et montons à la montagne de Jéhovah et à la maison du Dieu de Jacob ; et il nous instruira de ses voies, et nous voulons marcher dans ses sentiers. ” Car de Sion sortira la loi, et de Jérusalem la parole de Jéhovah. Oui, il rendra jugement au milieu de peuples nombreux et remettra les choses en ordre concernant des nations fortes, lointaines. Et ils devront forger leurs épées en socs et leurs lances en cisailles. Ils ne lèveront pas l’épée, nation contre nation, et ils n’apprendront plus la guerre. Vraiment, ils seront assis chacun sous sa vigne et sous son figuier, et il n’y aura personne qui [les] fasse trembler ; car la bouche même de Jéhovah des armées l’a dit" (Michée 4 :1-4).

Il y aura abondance de nourriture sur toute la terre

"Il y aura abondance de grain sur la terre ; sur le sommet des montagnes, ce sera la profusion. Son fruit sera comme au Liban, et ceux qui sont de la ville fleuriront comme la végétation de la terre" (Psaumes 72:16).

"À coup sûr, il donnera la pluie pour ta semence dont tu ensemences le sol, et, comme produit du sol, le pain, qui devra devenir gras et huileux. Ton bétail pâturera en ce jour-là dans un pré immense" (Esaïe 30:23).

Les récits des miracles de Jésus-Christ

pour renforcer la foi dans l’espérance de la vie éternelle

"Il y a, en effet, encore beaucoup d’autres choses que Jésus a faites ; si jamais on les écrivait dans le détail, le monde lui-même, j’imagine, ne pourrait contenir les rouleaux écrits" (Jean 21:25)

Les guérisons faites par Jésus-Christ et les apôtres étaient des "recréations"

Les maladies et les handicapes, qu’ils soient d’origines virales, bactériennes ou liés à des accidents de la vie, peuvent laisser des séquelles irréversibles sur le corps humain: une main asséchée, probablement une déformation héréditaire ou génétique (Luc 6:6-11), la cécité, par accident ou par hérédité (Matthieu 9:27-31 ; Luc 18:35-42), la surdité et l’atteinte de la motricité du langage (Marc 7:31-37), la lèpre, une maladie provoquée par un bacille (Mycobacterium leprae) qui provoque des dommages sur le systèmes nerveux périphérique, sur la peau et diverses parties du corps (Marc 1:40-42 ;Luc 17:11-19). Toutes ces guérisons miraculeuses et bien d'autres (Jean 21:25), ont nécessité une "recréation", même partielle, de la partie du corps humain atteinte par la maladie ou ses séquelles physiques.

La résurrection de Lazare, l’ami de Jésus-Christ, a été particulièrement spectaculaire et a nécessité une recréation importante, même partielle, de son corps pour qu’il puisse revivre (Jean 11:30-44). Le récit nous informe que Lazare était mort depuis quatre jours. Lorsque Jésus-Christ a demandé à ce que l’on ouvre la tombe, Marthe, la sœur du défunt a fait une objection: "Seigneur, il doit déjà sentir, car cela fait quatre jours”, ce qui démontre que le corps de Lazare commençait à se décomposer. La résurrection de Lazare a été une recréation partielle de son corps humain (palingénesia (en Grec) (Matthieu 19 :28)). Il est donc évident que ces guérisons miraculeuses par "recréation", n’existent plus actuellement dans les congrégations chrétiennes.

La simplicité et le réalisme du récit des miracles

"Alors s’avancèrent vers lui de grandes foules, ayant avec elles des boiteux, des estropiés, des aveugles, des muets, et beaucoup d’autres malades, et on les jeta pour ainsi dire à ses pieds, et il les guérit ; de sorte que la foule fut dans la stupeur en voyant les muets qui parlaient, et les boiteux qui marchaient, et les aveugles qui voyaient, et ils glorifièrent le Dieu d’Israël"

(Matthieu 15:30,31)

En lisant dans la Bible les différents récits des guérisons miraculeuses, ils sont souvent simples et concis. Parfois ils semblent indiquer que Jésus-Christ tenait compte des sentiments de la personne qu’il allait guérir. Jésus-Christ avait un grand discernement de ce que pensaient ses interlocuteurs (Matthieu 9:2-8 ; Luc 5:17-26 "Et Jésus, connaissant leurs pensées, dit : “ Pourquoi pensez-​vous des choses mauvaises dans vos cœurs ?"). Ce qui est vrai pour eux, l’était aussi pour certains malades qu’il allait guérir. Par exemple concernant la guérison d’un aveugle de naissance, en Jean chapitre 9:1-7, Jésus-Christ enduit ses yeux d’un peu d’argile qu’il a humidifié avec sa salive, et lui commande, sans l’accompagner, d’aller se laver les yeux à la piscine de Siloam. Par contre, le récit de l’évangile de Marc 8:22-25, pour la guérison, d’un autre aveugle, il est écrit que les gens d’un village, lui amène un aveugle. Jésus-Christ, le prenant par la main, l’amène en dehors du village. Il procède à une guérison progressive, en deux étapes afin de lui rendre la vue progressivement, pour que probablement l’aveugle n’ait pas un choc émotionnel trop important.

Un autre récit de la guérison d’un sourd muet, est très touchant: "Or, revenant du territoire de Tyr, il se rendit par Sidon vers la mer de Galilée [et passa] au milieu du territoire de la Décapole. Ici on lui amena un homme qui était sourd et avait un empêchement de la langue, et on le supplia de poser la main sur lui. Et il le prit hors de la foule, à part, et mit ses doigts dans les oreilles de l’homme et, après avoir craché, il lui toucha la langue. Et, levant les yeux vers le ciel, il soupira profondément et lui dit : “ Ephphatha ”, c’est-à-dire : “ Ouvre-toi. ” Eh bien, ses oreilles s’ouvrirent, et le lien de sa langue se dénoua, et il se mit à parler normalement. Là-dessus il leur commanda de ne rien dire à personne ; mais plus il le leur commandait, plus ils proclamaient la chose. Oui, ils étaient frappés d’une façon tout à fait extraordinaire et ils disaient: “ Il a bien fait toutes choses. Il fait même entendre les sourds et parler les muets"" (Marc 7:31-37).

Le fait que Jésus-Christ conduise cet homme hors de la foule, montre qu’il comprend que peut-être, il est effrayé par le tumulte et l’agitation des gens tout excités pour savoir s’il parviendrait à le guérir. Cet homme sourd et muet est complètement emprisonné dans un silence intérieur absolu. La foule lui présente Jésus, qu’il n’est pas sensé connaître et ni savoir ce qu’il va lui faire. Ainsi, la description de la gestuelle de sa guérison, est peut-être une manière que Jésus-Christ a, de faire comprendre à cet homme ce qu’il est en train de faire, c’est-à-dire le guérir ("ses doigts dans les oreilles") avec l’aide de Dieu ("levant les yeux vers le ciel").

Les seuls récits des miracles où il y a des éclats de voix, des cris, des convulsions, c’est lorsque Jésus-Christ se confronte à des démons qui se sont rendus maitres de certains être humains, leur provoquant parfois des crises d’épilepsie très violentes (ce qui ne veut pas dire que l’épilepsie est un handicap à mettre sur le compte du démonisme. Le récit des évangiles décrit l’épilepsie comme une des conséquences d’une possession, qui peut en avoir d’autres, comme une force exceptionnellement démesurée ou des dons de divination) (Matthieu 8:28-34 ; 17:14-20 ; Luc 4:31-37). Quoiqu’il en soit la plupart des récits bibliques des miracles sont simples et concis.

Les dons de guérisons miraculeuses étaient une accréditation divine que la personne ou le groupe de personnes avaient l’approbation de Dieu et l’esprit saint

“Rabbi, nous savons que toi, en tant qu’enseignant, tu es venu de Dieu, car personne ne peut accomplir ces signes que tu accomplis, si Dieu n’est pas avec lui"

(Jean 3:2)

C’est un enseignant de la Loi, honnête et sincère, nommé Nicodème, qui a dit ces paroles. De même lorsque les apôtres accomplissaient de tels signes, il ne faisait aucun doute, pour les observateurs qu’ils avaient l’esprit saint : "De plus, par les mains des apôtres beaucoup de signes et de présages continuaient à se faire parmi le peuple ; et ils étaient tous d’un commun accord dans la colonnade de Salomon" (Actes 5 :12-16). Cependant, certains des pharisiens, en présence du Christ, sont allés jusqu’à contester cette évidence. Lisons ce que répond le Christ à leur sujet:

"Alors on lui amena un homme possédé d’un démon [et qui était] aveugle et muet ; et il le guérit, de sorte que le muet parlait et voyait. Eh bien, toutes les foules étaient absolument émerveillées et disaient : “ Ne serait-ce pas là le Fils de David ? ”  En entendant cela, les Pharisiens dirent : “ Cet homme-là n’expulse les démons que par le moyen de Béelzéboub, le chef des démons. ”  Connaissant leurs pensées, il leur dit : “ Tout royaume divisé contre lui-même est réduit en désolation, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne subsistera pas. Pareillement, si Satan expulse Satan, il s’est divisé contre lui-même ; comment donc son royaume subsistera-t-il ? D’ailleurs, si c’est par le moyen de Béelzéboub que j’expulse les démons, vos fils, par le moyen de qui les expulsent-ils ? C’est pourquoi ils seront vos juges.  Mais si c’est par le moyen de l’esprit de Dieu que j’expulse les démons, le royaume de Dieu vous a donc atteints. Ou bien, comment quelqu’un peut-il pénétrer dans la maison d’un homme fort et s’emparer de ses affaires, s’il ne lie d’abord l’homme fort ? Et alors il pillera sa maison. Qui n’est pas avec moi est contre moi, et qui ne rassemble pas avec moi disperse" (Matthieu 12 :22-30).

En toute logique Jésus-Christ a retourné cette accusation gratuite des pharisiens, contre eux par cette simple question : "D’ailleurs, si c’est par le moyen de Béelzéboub que j’expulse les démons, vos fils, par le moyen de qui les expulsent-ils ?". Néanmoins Jésus-Christ n’a pas du tout considéré cette accusation comme anodine, bien au contraire. Il leur a adressé cet avertissement à prendre très au sérieux ; attention de ne pas pécher contre l’esprit saint:

"Voilà pourquoi je vous le dis : Toute espèce de péché et de blasphème sera pardonnée aux hommes, mais le blasphème contre l’esprit ne sera pas pardonné.  Par exemple, celui qui dit une parole contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais celui qui parle contre l’esprit saint, il ne lui sera pas pardonné, non, ni dans ce système de choses-ci ni dans celui qui est à venir" (Matthieu 12:31,32).

Jésus-Christ et le premier miracle écrit dans l'Évangile de Jean, il change l'eau en vin: "Or, le troisième jour, il y eut un festin de mariage à Cana de Galilée, et la mère de Jésus était là. Jésus et ses disciples furent, eux aussi, invités au festin de mariage.  Le vin étant venu à manquer, la mère de Jésus lui dit : “ Ils n’ont pas de vin. ”  Mais Jésus lui dit : “ Qu’ai-je à faire avec toi, femme ? Mon heure n’est pas encore venue. ”  Sa mère dit à ceux qui servaient : “ Tout ce qu’il vous dira, faites-le. ”  Or il y avait six jarres de pierre posées là, comme l’exigeaient les règles de purification des Juifs, chacune pouvant contenir deux ou trois mesures. Jésus leur dit : “ Remplissez d’eau ces jarres. ” Et ils les remplirent jusqu’au bord. Et il leur dit : “ Maintenant puisez-en un peu et portez-le au directeur du festin. ” Alors ils le [lui] portèrent. Or, quand le directeur du festin goûta l’eau qui avait été changée en vin — mais il ne savait pas d’où venait [ce vin], tandis que ceux qui servaient le savaient, eux qui avaient puisé l’eau —, le directeur du festin appela l’époux et lui dit : “ Tout autre homme sert d’abord l’excellent vin, puis quand les gens sont ivres, le [vin] inférieur. Toi, tu as réservé l’excellent vin jusqu’à maintenant. ”  Jésus accomplit cela à Cana de Galilée : [ce fut le] commencement de ses signes, et il manifesta sa gloire ; et ses disciples mirent leur foi en lui" (Jean 2:1-11).

Jésus-Christ guérit le fils d'un serviteur du roi: "Alors il vint de nouveau à Cana de Galilée, où il avait changé l’eau en vin. Or, il y avait un certain serviteur du roi dont le fils était malade à Capernaüm. Quand cet [homme] apprit que Jésus était arrivé de Judée en Galilée, il s’en alla vers lui, et il lui demandait de descendre guérir son fils, car il était sur le point de mourir. Cependant, Jésus lui dit : “ Si vous ne voyez pas des signes et des prodiges, non vous ne croirez pas. ” Le serviteur du roi lui dit : “ Seigneur, descends avant que mon petit enfant ne meure. ”  Jésus lui dit : “ Va ; ton fils vit. ” L’homme crut la parole que Jésus lui avait dite et il s’en alla. Mais déjà, alors qu’il était en train de descendre, ses esclaves venaient à sa rencontre pour [lui] dire que son garçon était vivant. Il se mit donc à leur demander à quelle heure [son fils] s’était senti mieux. Alors ils lui dirent : “ Hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté. ” Le père donc sut que c’était à l’heure même où Jésus lui avait dit : “ Ton fils vit. ” Et lui et toute sa maisonnée crurent. Ce fut là, de nouveau, le deuxième signe que Jésus accomplit quand il vint de Judée en Galilée" (Jean 4:46-54).

Jésus-Christ guérit un homme possédé par un démon à Capernaüm: "Et il descendit à Capernaüm, ville de Galilée. Et il les enseignait, le sabbat ; et ils étaient frappés de sa manière d’enseigner, parce que sa parole était avec pouvoir. Or dans la synagogue il y avait un homme avec un esprit, un démon impur, et il cria d’une voix forte : “ Ah ! qu’avons-nous à faire avec toi, Jésus, Nazaréen ? Es-tu venu pour nous détruire ? Je sais parfaitement qui tu es : le Saint de Dieu. ” Mais Jésus le réprimanda en disant : “ Tais-toi, et sors de lui. ” Le démon donc, après avoir jeté l’homme par terre au milieu d’eux, sortit de lui sans lui faire aucun mal. Alors la stupéfaction les saisit tous, et ils s’entretenaient entre eux, disant : “ Quel genre de langage est-ce là ? car il commande avec pouvoir et puissance aux esprits impurs, et ils sortent ! ” Et la nouvelle à son sujet continuait à sortir [et à se répandre] dans tous les coins du pays d’alentour" (Luc 4:31-37).

Jésus-Christ chasse les démons dans le pays des Gadaréniens (aujourd'hui la Jordanie, la partie orientale du Jourdain, près du lac de Tibériade): "Quand il arriva sur l’autre rive, dans le pays des Gadaréniens, vinrent à sa rencontre deux hommes possédés de démons ; ils sortaient du milieu des tombes de souvenir ; [ils étaient] extraordinairement violents, si bien que personne n’avait le courage de passer par cette route. Et, voyez, ils crièrent, en disant : “ Qu’avons-nous à faire avec toi, Fils de Dieu ? Es-tu venu ici pour nous tourmenter avant le temps fixé ? ” Mais à une bonne distance d’eux il y avait un grand troupeau de porcs en train de paître. Les démons se mirent donc à le supplier, en disant : “ Si tu nous expulses, envoie-nous dans le troupeau de porcs. ”  Alors il leur dit : “ Allez ! ” Ils sortirent et s’en allèrent dans les porcs ; et, voyez, tout le troupeau se précipita du haut de l’escarpement dans la mer et mourut dans les eaux. Mais les gardiens prirent la fuite et, entrant dans la ville, ils racontèrent tout, y compris l’affaire des hommes possédés de démons. Et, voyez, toute la ville sortit à la rencontre de Jésus ; et après qu’ils l’eurent vu, ils le prièrent avec insistance de quitter leur territoire" (Matthieu 8:28-34).

Jésus-Christ guérit la belle-mère de l’apôtre Pierre : "Et Jésus, en venant dans la maison de Pierre, vit sa belle-mère couchée et prise de fièvre. Il lui toucha donc la main et la fièvre la quitta ; et elle se leva et se mit à le servir" (Matthieu 8:14,15).

Jésus-Christ guérit un homme paralysé de la main droite: "Au cours d’un autre sabbat, il entra dans la synagogue et se mit à enseigner. Et il y avait là un homme dont la main droite était desséchée. Et les scribes et les Pharisiens l’observaient attentivement pour voir s’il allait guérir, le sabbat, afin de trouver de quoi l’accuser.  Lui, cependant, connaissait leurs raisonnements ; pourtant il dit à l’homme à la main desséchée : “ Lève-toi et tiens-toi là, au centre. ” Il se leva et se tint là.  Alors Jésus leur dit : “ Je vous le demande : Est-il permis, le sabbat, de faire du bien ou de faire du mal, de sauver une âme ou de la détruire ? ” Et après les avoir tous regardés à la ronde, il dit à l’homme : “ Tends ta main. ” Il le fit, et sa main fut rétablie. Mais eux se remplirent de démence, et ils se mirent à parler entre eux de ce qu’ils pourraient faire à Jésus" (Luc 6:6-11).

Jésus-Christ guérit un homme souffrant d'hydropisie (œdème, accumulation excessive de liquide dans le corps): "Et une fois, alors qu’il était entré, le sabbat, dans la maison d’un des chefs des Pharisiens pour prendre un repas, ils l’observaient attentivement. Et, voyez, il y avait devant lui un certain homme qui était atteint d’hydropisie. Alors Jésus parla à ceux qui étaient versés dans la Loi et aux Pharisiens et dit : “ Est-il permis, le sabbat, de guérir, ou non ? ” Mais ils gardèrent le silence. Là-dessus il saisit [l’homme], le guérit et [le] renvoya. Et il leur dit : “ Qui de vous, si son fils ou son taureau tombe dans un puits, ne l’en retirera aussitôt le jour du sabbat ? ” Et ils ne furent pas capables de répliquer à cela" (Luc 14:1-6).

Jésus-Christ guérit un aveugle : "Or, comme il approchait de Jéricho, un certain aveugle était assis au bord de la route et mendiait. Parce qu’il entendait une foule qui passait, il se mit à demander ce que cela signifiait. On lui annonça : “ C’est Jésus le Nazaréen qui passe ! ” Alors il cria, en disant : “ Jésus, Fils de David, aie pitié de moi ! ” Ceux qui allaient en avant lui disaient d’un ton sévère de se taire, mais il criait d’autant plus : “ Fils de David, aie pitié de moi ! ” Alors Jésus s’arrêta et ordonna qu’on conduise l’homme vers lui. Après qu’il se fut approché, Jésus lui demanda : “ Que veux-tu que je fasse pour toi ? ” Il dit : “ Seigneur, que je retrouve la vue. ” Alors Jésus lui dit : “ Retrouve ta vue ; ta foi t’a rétabli. ” Et à l’instant même il retrouva la vue, et il se mit à le suivre en glorifiant Dieu. Tout le peuple aussi, en voyant [cela], rendit louange à Dieu" (Luc 18 :35-42).

Jésus-Christ guérit deux aveugles: "Comme Jésus passait plus loin, deux aveugles le suivirent, criant et disant : “ Aie pitié de nous, Fils de David ! ” Après qu’il fut entré dans la maison, les aveugles vinrent auprès de lui, et Jésus leur demanda : “ Avez-vous foi que je peux faire cela ? ” Ils lui répondirent : “ Oui, Seigneur. ”  Alors il leur toucha les yeux, en disant : “ Selon votre foi qu’ainsi il vous soit fait. ” Et leurs yeux purent voir. De plus, Jésus leur donna un ordre sévère, en disant : “ Veillez à ce que personne ne l’apprenne. ” Mais eux, après qu’ils furent sortis dehors, parlèrent de lui dans toute cette région" (Matthieu 9:27-31).

Jésus-Christ guérit un sourd-muet: "Or, revenant du territoire de Tyr, il se rendit par Sidon vers la mer de Galilée [et passa] au milieu du territoire de la Décapole. Ici on lui amena un homme qui était sourd et avait un empêchement de la langue, et on le supplia de poser la main sur lui. Et il le prit hors de la foule, à part, et mit ses doigts dans les oreilles de l’homme et, après avoir craché, il lui toucha la langue. Et, levant les yeux vers le ciel, il soupira profondément et lui dit : “ Ephphatha ”, c’est-à-dire : “ Ouvre-toi. ” Eh bien, ses oreilles s’ouvrirent, et le lien de sa langue se dénoua, et il se mit à parler normalement. Là-dessus il leur commanda de ne rien dire à personne ; mais plus il le leur commandait, plus ils proclamaient la chose. Oui, ils étaient frappés d’une façon tout à fait extraordinaire et ils disaient : “ Il a bien fait toutes choses. Il fait même entendre les sourds et parler les muets"" (Marc 7:31-37).

Jésus-Christ guérit un lépreux : "Vint aussi vers lui un lépreux, qui le supplia, oui à genoux, et lui dit : “ Si tu le veux, tu peux me rendre pur. ” Alors il fut pris de pitié, et il tendit la main et le toucha, et il lui dit : “ Je le veux. Deviens pur. ”Et aussitôt la lèpre disparut de dessus lui, et il devint pur" (Marc 1:40-42).

La guérison des dix lépreux: "Et tandis qu’il se rendait à Jérusalem, il passait au milieu de la Samarie et de la Galilée. Et comme il entrait dans un certain village, dix hommes lépreux vinrent à sa rencontre, mais ils se levèrent au loin. Et ils élevèrent la voix et dirent : “ Jésus, Instructeur, aie pitié de nous ! ” Et lorsqu’il les vit, il leur dit : “ Allez vous montrer aux prêtres. ” Or, comme ils s’en allaient, leur purification eut lieu. L’un d’eux, quand il vit qu’il était guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu d’une voix forte. Et il tomba sur sa face aux pieds de [Jésus], en le remerciant ; or, c’était un Samaritain. En réponse Jésus dit : “ Les dix ont été purifiés, n’est-ce pas ? Où sont donc les neuf autres ? Ne s’est-il trouvé personne pour revenir rendre gloire à Dieu, que cet [homme] d’une autre nation ? ” Et il lui dit : “ Lève-toi et va ; ta foi t’a rétabli" (Luc 17:11-19).

Jésus-Christ guérit un paralytique : "Après ces choses, il y eut une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem. Or, à Jérusalem, près de la porte des moutons, il y a une piscine appelée en hébreu Bethzatha, avec cinq colonnades. Dans celles-ci étaient couchés une multitude de malades, d’aveugles, de boiteux et de gens avec des membres desséchés. Mais il y avait là un certain homme qui était dans sa maladie depuis trente-huit ans. Voyant cet homme couché et se rendant compte qu’il était malade depuis longtemps déjà, Jésus lui dit : “ Veux-tu retrouver la santé ? ” Le malade lui répondit : “ Monsieur, je n’ai pas d’homme pour me mettre dans la piscine quand l’eau est agitée ; mais pendant que moi je viens, un autre descend avant moi. ” Jésus lui dit : “ Lève-toi, prends ta couchette et marche. ” Et aussitôt l’homme retrouva la santé ; et il prit sa couchette et se mit à marcher" (Jean 5:1-9).

Jésus-Christ guérit un épileptique: "Et lorsqu’ils vinrent vers la foule, un homme s’avança vers lui, qui s’agenouilla devant lui et dit : “ Seigneur, aie pitié de mon fils, parce qu’il est épileptique et va mal ; souvent en effet il tombe dans le feu et souvent dans l’eau ; et je l’ai amené à tes disciples, mais ils n’ont pas pu le guérir. ” En réponse Jésus dit : “ Ô génération sans foi et pervertie, jusqu’à quand devrai-je rester avec vous ? Jusqu’à quand devrai-je vous supporter ? Amenez-le-moi ici. ” Alors Jésus réprimanda le démon, et celui-ci sortit de lui ; et le garçon fut guéri dès cette heure-là. Sur quoi les disciples s’avancèrent vers Jésus en particulier et dirent : “ Pourquoi n’avons-nous pas pu l’expulser ? ” Il leur dit : “ À cause de votre peu de foi. Car, vraiment, je vous le dis : Si vous avez de la foi gros comme un grain de moutarde, vous direz à cette montagne : ‘ Transporte-toi d’ici à là-bas ’, et elle s’y transportera ; et rien ne vous sera impossible”" (Matthieu 17:14-20).

Un miracle sans le savoir: "Comme il s’y rendait, les foules le serraient de tous côtés. Et une femme atteinte d’un flux de sang depuis douze ans, laquelle n’avait pu être guérie par personne, s’approcha par-derrière et toucha la frange de son vêtement de dessus ; et à l’instant même son flux de sang s’arrêta. Et Jésus dit : “ Qui est-ce qui m’a touché ? ” Alors que tous s’en défendaient, Pierre dit : “ Instructeur, les foules t’entourent et te serrent fortement. ” Mais Jésus dit : “ Quelqu’un m’a touché, car je me suis rendu compte qu’une puissance était sortie de moi. ”  Voyant qu’elle n’était pas passée inaperçue, la femme vint, toute tremblante, et tomba devant lui, et elle annonça devant tout le peuple pour quel motif elle l’avait touché et comment elle avait été guérie à l’instant même. Mais il lui dit : “Ma fille, ta foi t’a rétablie. Va en paix”" (Luc 8:42-48).

Jésus-Christ guérit à distance: "Quand il eut achevé toutes ses paroles en présence du peuple, il entra dans Capernaüm. Or l’esclave d’un certain officier, à qui il était cher, allait mal et était sur le point de succomber. Quand il entendit parler de Jésus, il envoya vers lui quelques anciens des Juifs pour lui demander de venir tirer d’affaire son esclave.  Alors ceux qui arrivèrent auprès de Jésus se mirent à le supplier instamment, en disant : “ Il est digne que tu lui accordes cela, car il aime notre nation et c’est lui qui nous a bâti la synagogue. ” Jésus se mit donc en route avec eux. Mais, alors qu’il n’était pas loin de la maison, l’officier avait déjà envoyé des amis pour lui dire : “ Monsieur, ne te dérange pas, car je ne suis pas digne de te faire entrer sous mon toit. C’est pour cela que je ne me suis pas jugé moi-même digne de venir vers toi. Mais donne l’ordre, et que mon serviteur soit guéri. Car moi aussi je suis un homme placé sous une autorité, j’ai sous moi des soldats, et je dis à l’un : ‘ Va ! ’ et il va, et à un autre : ‘ Viens ! ’ et il vient, et à mon esclave : ‘ Fais ceci ! ’ et il le fait. ” Eh bien, quand Jésus entendit ces choses, il s’étonna à son sujet, et il se tourna vers la foule qui le suivait et dit : “ Je vous le dis : Pas même en Israël je n’ai trouvé une si grande foi. ” 1Et, de retour à la maison, les envoyés trouvèrent l’esclave en bonne santé" (Luc 7:1-10).

Jésus-Christ guérit une femme courbée pendant 18 ans: "Or il enseignait dans une des synagogues, le sabbat. Et, voyez, une femme avec un esprit de faiblesse depuis dix-huit ans, et elle était courbée en deux et ne pouvait pas se redresser, pas du tout. Lorsqu’il la vit, Jésus s’adressa à elle et lui dit : “ Femme, tu es libérée de ta faiblesse. ” Et il posa les mains sur elle ; et à l’instant même elle se redressa et se mit à glorifier Dieu. Alors le président de la synagogue, indigné de ce que Jésus avait opéré [cette] guérison le sabbat, se mit à dire à la foule : “ Il y a six jours pendant lesquels on doit travailler ; [ces jours-là,] venez donc vous faire guérir, et non pas le jour du sabbat. ” Cependant le Seigneur lui répondit et dit : “ Hypocrites ! est-ce que chacun de vous, le sabbat, ne détache pas de l’étable son taureau ou son âne pour le mener boire ? Et cette femme, qui est fille d’Abraham et que Satan a tenue liée — voyez ! — pendant dix-huit ans, ne fallait-il donc pas la délier de ce lien le jour du sabbat ? ” Eh bien, tandis qu’il disait ces choses, tous ses adversaires avaient honte ; mais toute la foule se réjouissait de toutes les choses glorieuses qui étaient faites par lui" (Luc 13:10-17).

Jésus-Christ guérit la fille d'une femme phénicienne: "Partant de là, Jésus se retira dans la région de Tyr et de Sidon. Et, voyez, une femme phénicienne de ce territoire sortit et cria, en disant : “ Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David ! Ma fille est fortement démonisée. ” Mais il ne lui répondit pas un mot. Ses disciples s’avancèrent donc et se mirent à le prier : “ Renvoie-la ; parce qu’elle ne cesse de crier derrière nous. ” En réponse il dit : “ Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. ”  Quand la femme arriva, elle se mit à lui rendre hommage, en disant : “ Seigneur, aide-moi ! ” En réponse il dit : “ Ce n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens. ” Elle dit : “ Oui, Seigneur ; et pourtant les petits chiens mangent bien des miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. ” Alors, lui répondant, Jésus dit : “ Ô femme, grande est ta foi ; qu’il te soit fait comme tu le désires. ” Et sa fille fut guérie dès cette heure-là" (Matthieu 15:21-28).

Jésus-Christ apaise une tempête : "Et quand il monta dans un bateau, ses disciples le suivirent. Or, voyez, il y eut dans la mer une grande agitation, si bien que le bateau était en train d’être recouvert par les vagues ; lui, cependant, dormait. Et ils vinrent et le réveillèrent, en disant : “ Seigneur, sauve-nous, nous sommes sur le point de périr ! ” Mais il leur dit : “Pourquoi êtes-vous craintifs, gens de peu de foi ? ” Alors, se levant, il réprimanda les vents et la mer, et un grand calme se fit. Et les hommes furent stupéfaits et dirent : “ Quel genre d’homme est-ce donc, pour que même les vents et la mer lui obéissent ?”" (Matthieu 8 :23-27). Ce miracle démontre que dans le paradis terrestre il n’y aura plus des tempêtes ou des inondations qui provoqueront des désastres.

Jésus-Christ marchant sur la mer: "Finalement, ayant renvoyé les foules, il monta dans la montagne, seul, pour prier. Bien qu’il se fît tard, il était là, seul. Le bateau se trouvait déjà à plusieurs centaines de mètres de la terre, malmené par les vagues, parce que le vent était contraire. Mais à la quatrième veille de la nuit, il vint vers eux, marchant sur la mer. Quand ils l’aperçurent qui marchait sur la mer, les disciples furent troublés et dirent : “ C’est une apparition ! ” Et, dans leur peur, ils crièrent. Mais aussitôt Jésus leur parla, disant : “ Prenez courage, c’est moi ; n’ayez pas peur. ” En réponse Pierre lui dit : “ Seigneur, si c’est toi, ordonne-moi de venir vers toi sur les eaux. ” Il dit : “ Viens ! ” Sur quoi Pierre, descendant du bateau, marcha sur les eaux et alla vers Jésus. Mais, regardant le vent de tempête, il prit peur et, comme il commençait à couler, il cria : “ Seigneur, sauve-moi ! ” Tendant immédiatement la main, Jésus le saisit et lui dit : “ Homme de peu de foi, pourquoi t’es-tu laissé envahir par le doute ? ”  Et quand ils furent montés dans le bateau, le vent tomba. Alors ceux qui étaient dans le bateau lui rendirent hommage, en disant : “ Tu es vraiment le Fils de Dieu. ” Et ils traversèrent et vinrent à terre à Gennésareth" (Matthieu 14:23-33).

La pêche miraculeuse: "Une fois, alors que la foule le serrait de près et écoutait la parole de Dieu, il se tenait au bord du lac de Gennésareth. Et il vit deux bateaux arrêtés au bord du lac, mais les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets. Montant dans un des bateaux, qui était à Simon, il lui demanda de s’éloigner un peu de la terre. Alors il s’assit et, du bateau, il se mit à enseigner les foules. Quand il eut cessé de parler, il dit à Simon : “ Avance là où l’[eau] est profonde, et lâchez vos filets pour la pêche. ” Mais en réponse Simon dit : “ Instructeur, nous avons peiné toute une nuit sans rien prendre, mais, sur ton ordre, je vais lâcher les filets. ” Eh bien, quand ils l’eurent fait, ils enfermèrent une grande multitude de poissons. Oui, leurs filets se déchiraient. Alors ils firent signe à leurs associés dans l’autre bateau de venir les aider ; et ils vinrent, et on remplit les deux bateaux, au point qu’ils enfonçaient. Quand il vit cela, Simon Pierre tomba aux genoux de Jésus, en disant : “ Éloigne-toi de moi, Seigneur, parce que je suis un homme pécheur. ”  Car à cause de [cette] pêche de poissons qu’ils avaient faite, la stupéfaction l’avait envahi, lui et tous ceux qui étaient avec lui, et pareillement Jacques et Jean, les fils de Zébédée, qui étaient les associés de Simon. Mais Jésus dit à Simon : “ Cesse d’avoir peur. À partir de maintenant, ce sont des hommes que tu prendras vivants. ” Ils ramenèrent alors les bateaux à terre, et ils abandonnèrent tout et le suivirent" (Luc 5:1-11).

Jésus-Christ multiplie les pains: "Après ces choses, Jésus s’en alla de l’autre côté de la mer de Galilée, ou de Tibériade. Mais une grande foule le suivait, parce qu’ils voyaient les signes qu’il accomplissait sur ceux qui allaient mal.  Jésus alors monta dans une montagne, et là, il était assis avec ses disciples. Or, la Pâque, la fête des Juifs, était proche. Quand donc Jésus leva les yeux et remarqua qu’une grande foule venait vers lui, il dit à Philippe : “ Où achèterons-nous des pains pour que ceux-ci mangent ? ” Cependant, il disait cela pour le mettre à l’épreuve, car il savait, lui, ce qu’il allait faire.  Philippe lui répondit : “ Deux cents deniers de pains ne leur suffiraient pas pour que chacun en reçoive un petit peu. ” Un de ses disciples, André le frère de Simon Pierre, lui dit :  “ Il y a ici un petit garçon qui a cinq pains d’orge et deux petits poissons. Mais qu’est-ce que cela pour tant de monde ? ” Jésus dit : “ Faites s’étendre les gens comme aux repas. ” Or il y avait beaucoup d’herbe à cet endroit. Les hommes s’étendirent donc, au nombre d’environ cinq mille. Jésus alors prit les pains et, après avoir rendu grâces, il les distribua à ceux qui étaient étendus ; pareillement aussi pour les petits poissons, autant qu’ils en voulaient. Mais quand ils furent repus, il dit à ses disciples : “ Rassemblez les morceaux qui restent, pour que rien ne soit perdu. ” Ils les rassemblèrent donc et ils remplirent douze paniers avec les morceaux des cinq pains d’orge, qui étaient restés à ceux qui avaient mangé.  Aussi quand les hommes virent les signes qu’il accomplissait, ils se mirent à dire : “ Celui-ci est vraiment le prophète qui devait venir dans le monde. ” Jésus donc, sachant qu’ils allaient venir s’emparer de lui pour le faire roi, se retira de nouveau dans la montagne, tout seul" (Jean 6:1-15). Il y aura de la nourriture en abondance sur toute la terre (Psaumes 72:16 ; Ésaïe 30:23).

Jésus-Christ ressuscite le fils d’une veuve : "Peu après cela, il fit route vers une ville appelée Naïn, et ses disciples et une grande foule faisaient route avec lui. Quand il arriva près de la porte de la ville, eh bien, voyez, on portait dehors un mort, le fils unique-engendré de sa mère. De plus, elle était veuve. Une foule considérable de la ville était aussi avec elle. Et quand le Seigneur l’aperçut, il fut pris de pitié pour elle, et il lui dit : “ Cesse de pleurer. ” Sur quoi il s’avança et toucha la civière, et les porteurs s’arrêtèrent, et il dit : “ Jeune homme, je te le dis : Lève-toi ! ” Et le mort se redressa et commença à parler, et il le donna à sa mère. Alors une crainte les saisit tous, et ils se mirent à glorifier Dieu, en disant : “ Un grand prophète a été suscité parmi nous ”, et : “ Dieu s’est occupé de son peuple. ” Et cette nouvelle à son sujet se répandit dans toute la Judée et dans tout le pays d’alentour" (Luc 7:11-17).

Jésus-Christ ressuscite la fille de Jaïrus : "Tandis qu’il parlait encore, un certain représentant du président de la synagogue arriva et dit : “ Ta fille est morte ; ne dérange plus l’enseignant. ” En entendant cela, Jésus lui répondit : “ N’aie pas peur, fais montre de foi seulement, et elle sera sauvée. ” Quand il arriva à la maison, il ne laissa personne entrer avec lui, si ce n’est Pierre et Jean et Jacques, ainsi que le père et la mère de la fillette. Mais tous les gens pleuraient et se frappaient la poitrine de chagrin pour elle. Alors il dit : “Cessez de pleurer, car elle n’est pas morte, mais elle dort. ” Et ils se mirent à se moquer de lui d’un air méprisant, parce qu’ils savaient qu’elle était morte. Mais il la prit par la main et appela, en disant : “Fillette, lève-toi ! ” Et son esprit revint, et elle se leva à l’instant même ; et il ordonna de lui donner à manger. Eh bien, ses parents furent hors d’eux-mêmes ; mais il leur ordonna de ne dire à personne ce qui était arrivé" (Luc 8:49-56).

Jésus-Christ ressuscite son ami Lazare, mort depuis quatre jours: "Jésus, en effet, n’était pas encore entré dans le village, mais il était toujours à l’endroit où Marthe l’avait rencontré. Les Juifs donc qui étaient avec elle dans la maison et qui la consolaient, en voyant Marie se lever bien vite et sortir, la suivirent : ils croyaient qu’elle allait à la tombe de souvenir pour y pleurer. Et ainsi Marie, quand elle arriva là où était Jésus et qu’elle l’aperçut, tomba à ses pieds et lui dit : “ Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. ” Jésus donc, quand il la vit pleurer et les Juifs qui étaient venus avec elle pleurer aussi, gémit dans l’esprit et se troubla ; et il dit : “ Où l’avez-vous déposé ? ” Ils lui dirent : “ Seigneur, viens et vois. ” Jésus se laissa aller aux larmes. Les Juifs se mirent donc à dire : “ Voyez : quelle affection il avait pour lui ! ” Mais quelques-uns d’entre eux dirent : “Cet homme qui a ouvert les yeux de l’aveugle, ne pouvait-il pas empêcher celui-ci de mourir ? ” Jésus donc, après avoir gémi de nouveau en lui-même, vint à la tombe de souvenir. C’était, en fait, une grotte, et une pierre était placée contre. Jésus dit : “ Enlevez la pierre. ” Marthe, la sœur du défunt, lui dit : “Seigneur, il doit déjà sentir, car cela fait quatre jours. ” Jésus lui dit : “ Ne t’ai-je pas dit que si tu croyais tu verrais la gloire de Dieu ? ” On enleva donc la pierre. Alors Jésus leva les yeux au ciel et dit : “ Père, je te remercie de ce que tu m’as entendu. Je savais, c’est vrai, que tu m’entends toujours ; mais c’est à cause de la foule qui est alentour que j’ai parlé, afin qu’ils croient que c’est toi qui m’as envoyé. ” Et quand il eut dit ces choses, il cria d’une voix forte : “ Lazare, viens dehors ! ” L’[homme] qui avait été mort sortit, les pieds et les mains liés par des bandelettes, et son visage était lié tout autour par un tissu. Jésus leur dit : “Déliez-le et laissez-le aller. ”" (Jean 11:30-44).

La dernière pêche miraculeuse (peu de temps après la résurrection du Christ): "Cependant, comme le matin déjà venait, Jésus se tint sur la plage, mais les disciples, naturellement, ne discernaient pas que c’était Jésus. Alors Jésus leur dit : “ Petits enfants, vous n’avez rien à manger, n’est-ce pas ? ” Ils lui répondirent : “ Non. ”  Il leur dit : “ Jetez le filet du côté droit du bateau et vous en trouverez. ” Alors ils le jetèrent, mais ils ne pouvaient plus le ramener à cause de la multitude des poissons. Ce disciple donc que Jésus aimait dit à Pierre : “ C’est le Seigneur ! ” Alors Simon Pierre, en entendant que c’était le Seigneur, se ceignit de son vêtement extérieur, car il était nu, et se jeta à la mer. Mais les autres disciples vinrent dans le petit bateau — car ils n’étaient pas loin de la terre, seulement à quatre-vingt-dix mètres environ —, traînant le filet plein de poissons" (Jean 21:4-8).

Jésus-Christ a fait bien d’autres miracles. Ils nous permettent de renforcer notre foi, nous encourager et avoir un aperçu des nombreuses bénédictions qu’il y aura dans le paradis. Les paroles écrites de l’apôtre Jean résument très bien le nombre prodigieux de miracles que Jésus-Christ a fait, comme garantie de ce qui se réalisera dans le paradis : "Il y a, en effet, encore beaucoup d’autres choses que Jésus a faites ; si jamais on les écrivait dans le détail, le monde lui-même, j’imagine, ne pourrait contenir les rouleaux écrits" (Jean 21:25).

Casus Belli mondial contre l’intégrité du corps humain

dans la guerre mondiale NRBC

(Ezéchiel 34)

Les bergers qui se paissent eux-mêmes

"Voici ce qu’a dit le Souverain Seigneur Jéhovah : “Malheur aux bergers d’Israël qui se paissent eux-mêmes ! N’est-ce pas le troupeau que les bergers doivent faire paître ?  Vous mangez la graisse et vous vous revêtez de la laine. Vous abattez l’animal replet. Vous ne faites pas paître le troupeau.  Les brebis malades, vous ne les avez pas fortifiées ; celle qui était souffrante, vous ne l’avez pas guérie ; celle qui était brisée, vous ne l’avez pas bandée ; celle qui était dispersée, vous ne l’avez pas ramenée ; celle qui était perdue, vous ne l’avez pas cherchée ; mais c’est avec dureté que vous les avez tenues dans la soumission, oui avec tyrannie. Et finalement elles ont été dispersées par manque de berger, si bien qu’elles sont devenues une nourriture pour toutes les bêtes sauvages des champs, et elles étaient dispersées. Mes brebis erraient sur toutes les montagnes et sur toute colline élevée ; et à toute la surface de la terre mes brebis furent dispersées, sans que personne aille à leur recherche, sans que personne les cherche”” (Ezéchiel 34:2-6).

Comme nous l’avons vu plus haut, le corps humain a été créé par Dieu et nous a été donné en héritage divin, pour en prendre soin, tel un temple que l’on habite et qui devrait être habité par l’esprit de Dieu (1 Corinthiens 3 :16 "L’esprit de Dieu habite en vous"). Ce corps et la vie qui l’anime, n’appartiennent pas à un quelconque état ou une entité qui se voudrait mondialiste, ni même à aucune organisation religieuse. Le corps humain que nous avons et la vie qui l’anime appartiennent à Dieu, parce qu’Il en est la source et le Créateur (Révélation 4:11).

Jésus-Christ a dit de rendre à César ce qui appartient à César et rendre à Dieu ce qui appartient à Dieu (Luc 20:25). Le chrétien qui rend à César ce qui est à César, a une attitude respectueuse envers les autorités établies de son pays. En 1 Pierre 2:17, il est écrit de craindre Dieu et d’honorer le roi. Selon le contexte, le roi est le dépositaire de l’autorité du pays sur lequel il règne. L’apôtre Paul, dans la lettre aux Romains (13:1-7), encourage tous les chrétiens à respecter les gouvernements et leurs représentants, qu’ils soient rois, princes, présidents, ministres, députés… Ce passage montre que nous devons respecter ceux qui sont habilités à faire exécuter la loi, à savoir, la police, les militaires dans certains pays, les juges, les procureurs et les divers représentants des administrations, tels que par exemple, les instituteurs, les professeurs, les proviseurs, les inspecteurs des impôts… Ceci étant dit, Jésus-Christ a ajouté que nous devons rendre ce qui appartient à Dieu à Dieu. Ce qui appartient à Dieu c’est la vie qu’Il nous a donné. Par conséquent, si un quelconque état s’approprie de manière rampante, voir perverse nos corps et le corps de nos enfants, comme l’a dit l’apôtre Pierre devant un tribunal: "Nous devons obéir à Dieu, en sa qualité de chef, plutôt qu’aux hommes" (Actes 5:29).

Dans ce qui suit, il ne s’agit pas d’un appel au manque de respect aux autorités gouvernementales en place, mais de prendre acte d’une situation qui semble ressembler à ce qui est écrit dans la prophétie d’Ezéchiel chapitre 34, citée au début de l’article, et de prendre les mesures qui s’imposent pour respecter les principes bibliques sur la valeur sacré de la vie et du sang. Quelles sont les faits observables ?

Le monde vit actuellement, depuis le mois de novembre 2019, de facto, un Casus Belli, une guerre mondiale de type NRBC, contre les peuples et contre l’intégrité de leurs corps (les brebis perdues et dispersées). Ce Casus Belli mondial contre l’intégrité du corps humain, que Dieu nous a confié, n’est pas fait avec des tanques, des bombes et des canons. Il s’organise sur fond de trafic international de virus militaire (sortie d’un laboratoire de type P4 (fabriquant officiellement des virus militaires dans le cadre de guerres de types NRBC)) et de propagandes savamment orchestrées (ingénierie sociale), dans le but d’épouvanter les peuples. Le principe de base de ces laboratoires de la mort est de recueillir des virus que l’on trouve normalement dans la nature, dans le règne animal et qui, à la base sont généralement inoffensifs pour l’homme ; ils ne sont généralement pas transmissibles et si c’est le cas, ils ne sont généralement pas mortels. Ces laboratoires démoniaques font en sorte, de rendre ces virus transmissibles à l’homme par un "séquençage", un processus extrêmement complexe qui peut prendre plusieurs mois. L’objectif diabolique est d’obtenir un "gain de fonction", c’est-à-dire, dans ce cas de figure, faire en sorte que ce (ou ces) virus soit mortel pour l’homme, en augmentant, de manière substantielle la létalité de ce virus militaire manufacturé (les références ou les brevets de ces virus militaires se trouvent au NIH GenBank ou dans certaines archives de l’OMS (au moins d’une filiale d’un de ces pays). Dit en passant, le NIH a supprimé des informations des laboratoires de Wuhan sur le séquançage génétique du virus militaire, selon le FOIA de Watchdog (30 mars 2022)) (Que se passe-t-il à Shangaï ?) (Le crédit social à la chinoise, commence en Italie (Bologne)).

(Le crédit social à la chinoise et l’Agenda 2030: Cet agenda a été adopté par l'ONU en septembre 2015 après deux ans de négociations incluant les gouvernements comme la société civile. L’agenda 2030 s’inscrit dans le cadre d’une idéologie mondialiste, particulièrement dans les pays de la zone de l’OTAN et de ses partenaires (L’Europe de l’Ouest, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande...). C’est dans ces zones du monde que l’idéologie intégriste et sectaire du “covidisme”, qui porte atteinte à l’intégrité corporelle des peuples, s’est implantée (La situation à Shangaï (Chine), en est une illustration poussée à son extrême et à bien des égards, peut nous donner un aperçu futur de ce genre de dictature à l’échelle de plusieurs états réunis, voir mondiale). Les situations de “pandémie” mondiale, ou d’urgence climatique, sont des prétextes tout trouvés pour instaurer une dictature, de manière progressive et larvée sur l’ensemble des peuples. L’instauration “volontaire” du “crédit social” en Italie (Bologne et Rome (fin mars 2022)), n’est que le commencement de ce processus, qui s’inscrit dans l’instauration future, larvée et perverse, d’une “obligation”...).

Dans la prophétie d’Ezéchiel 34, Jéhovah Dieu fait le reproche suivant aux chefs mondiaux, les bergers qui se paissent eux-mêmes, au détriment de leur peuple et des peuples: "C’est avec dureté que vous les avez tenues dans la soumission, oui avec tyrannie". Comment cette tyrannie et cette dureté se sont-elles manifestées ?

Après la diffusion, bien évidemment "fortuite" (non vérifiable dans un sens, comme dans l’autre), de ce virus militaire létal, s’en suit une campagne de presse mondiale, qui va certifier, qu’il est question d’un accident de type "fuite", comme dans une centrale nucléaire, alors qu’un laboratoire P4, est un des lieux les plus sécurisée au monde. Ils vont dire par exemple qu’il vient du règne animal, ce qui est une demi-vérité, car c’est à la fois vrai et faux, donc faux (vrai+faux=faux). S’en suit une deuxième étape, essentiellement basée sur une ingénierie sociale propagandiste, basée sur la peur avec des messages et des reportages morbides à répétition, pour effrayer les peuples et surtout insister sur le fait qu’il n’y a aucun remède médical, ni même aucune molécule pour pouvoir guérir de ce virus militaire. La seule solution est l’attente du produit chimique injectable messianique qui va sauver la vie de l’humanité.

Ce Casus Belli est accompagné d’une expérimentation de thérapie génique de masse sur des corps humains sains, non malades, à l’échelle internationale, sur l’ensemble des peuples (les brebis non soignées), de produits chimiques injectables, de manière plus ou moins coercitive (au mépris du Code de Nuremberg – 1947 (voir les 10 articles en fin de page) (La thérapie génique mondiale en cours, est toujours officiellement, en phase d’expérimentation, par conséquent, elle rentre tout à fait dans le cadre juridique du Code de Nuremberg)). Ceux et celles, à la tête de nations ou de groupes de nations, qui ordonnent les injections, à répétition de ces poisons, dans des corps humains sains, ont des liens d’intérêts financiers connus de tous, directs ou indirects.

Ce Casus Belli, de type NRBC, utilise les médias corrompus par l’argent et coordonnés entre eux comme outil de propagande à la Goebbel (porte-parole du régime nazi hitlérien). Il est de notoriété publique qu’ils sont à la solde de nombreux oligarques milliardaires corrompus, qui influent aussi, sur de nombreux gouvernements (les bergers qui se paissent eux-mêmes), afin de créer une surréalité mensongère, de manière à effrayer les peuples (les brebis dispersées), les désorienter psychologiquement et mentalement, leur faire adopter des comportements complètement irrationnels, par des décisions contradictoires successives (des injonctions paradoxales) et des mensonges complètement assumés. Par cette administration sous forme d’ingénierie sociale du harcèlement et de la torture mentale au long court, ces bergers qui se paissent eux-mêmes, obtiennent le consentement par épuisement nerveux et mentale des brebis perdues, avec une coercition plus ou moins larvée (Voir Ezéchiel 34).

Dans un texte d’Esaïe 5:20 il est écrit: "Malheur à ceux qui disent que le bien est mal et que le mal est bien, à ceux qui mettent les ténèbres pour la lumière et la lumière pour les ténèbres, à ceux qui mettent l’amer pour le doux et le doux pour l’amer !". Ce texte décrit très exactement les inversions perverses et démoniaques des valeurs de ces ingénieurs du mensonge et de la manipulation meurtrière (Jean 8:44). Ces bergers qui se paissent eux-mêmes, ont interdit aux médecins de soigner des personnes âgées avec des molécules peu onéreuses. Ensuite ces mêmes bergers qui se paissent eux-mêmes, demandent aux enfants de risquer leur propre santé, voir leur vie, pour ces mêmes personnes âgées qu’ils ont mis en danger de mort en interdisant aux médecins de les soigner. Ces mêmes bergers qui se paissent eux-mêmes, demandent aux enfants de risquer leur propre santé, voir leur vie, pour des adultes alors que ce devrait être le contraire, à savoir que ce sont les adultes qui devraient être disposés à risquer leur vie pour les enfants, représentant l'avenir de l'humanité...

De très nombreux médecins, infirmières, aides-soignantes et femmes de ménage, travaillant dans les milieux des soins médicaux, ont été au front pour porter assistance aux personnes atteintes par ce virus militaire. Beaucoup l’ont payé de leur vie (Que se passe-t-il en France concernant les soignants, les pompiers et d'autres personnes (en lien avec le milieu médical), suspendus et renvoyés sans salaire et sans chômage et non réintégrés, pour avoir refusé l’injection expérimentale? (Seulement en langue française)). Jéhovah Dieu et son Fils Jésus-Christ, ne les oublieront pas à l’heure de la résurrection (Actes 24 :15 ; Hébreux 6 :10). Les hommes et les femmes courageux qui ont jusqu’à ce jour, dénoncé ce Casus belli, l’ont payé de leur vie pour certains, de mise au secret et emprisonnements pour d’autres et ils sont traités de "complotistes", terme inventé par la CIA en 1965, suite à la commission Warren (compte rendu officiel sur les circonstances qui ont entouré l’assassinat de JFK).

Dit en passant, les commissions sénatoriales actuelles, sont de fait, de vraies pièces de théâtre morbides. On observe un jeu de rôle diabolique, entre ces commissions d’"enquêtes", qui font jeu de mettre en défaut, les personnes convoquées et interrogées, et ces dernières qui, en fin de compte, repartent comme elles sont entrées, c’est-à-dire libres de continuer leurs entreprises sordides. Ces commissions sénatoriales courcircuitent le rôle des procureurs, des juges et des tribunaux, qui devraient emprisonner et juger ces meurtriers, ces fils de Josef Mengele, qui ont fait ces injections géniques expérimentales de masses, qui ont causé la mort de centaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants de par le monde, et des millions de séquelles invalidantes pour ceux qui en ont survécu. Ces menteurs meurtriers appliquent la logique de suicide collectif des peuples, à la manière de Jim Jones et de David Koresh, des gourous qui n’ont pas voulu mourir seuls, mais qui voulaient être accompagnés dans leurs folies, par leurs centaines d’adeptes qui ont été "suicidés". Nous vivons aussi, dans une logique de destruction massive mondiale, économique, diplomatique qui provoquent des guerres et la destruction de peuples. Ils sont dans une même logique de fuite en avant meurtrière que ces deux chefs de sectes.

Alors que nous sommes très proches de la Grande Tribulation, une prophétie de l’Apocalypse et du livre de Daniel, est en train de se réaliser sous nos yeux: "Il me dit aussi : “ Ne scelle pas les paroles de la prophétie de ce rouleau, car le temps fixé est proche. Celui qui pratique l’injustice, qu’il pratique l’injustice encore ; et que le sale se salisse encore ; mais que le juste pratique la justice encore, et que le saint soit sanctifié encore"" (Révélation 22:10,11). "Beaucoup se purifieront et se blanchiront et seront affinés. À coup sûr les méchants agiront méchamment, et aucun méchant ne comprendra ; mais les perspicaces comprendront" (Daniel 12:10). En attendant que le Roi Jésus-Christ balaye de la surface de la terre ces scélérats, lors de la Grande Tribulation (Révélation 19:11-21), ceux qui pratiquent la justice dans leur cœur, font chaque jour cette prière au Père Céleste, Jéhovah Dieu: "Enfin, frères, priez pour nous, pour que la parole de Jéhovah poursuive sa course et continue d’être glorifiée comme d’ailleurs elle l’est chez vous ; et que nous soyons délivrés des hommes malfaisants et méchants, car la foi n’est pas le bien de tous. Mais le Seigneur est fidèle, et il vous affermira et vous gardera du méchant" (2 Thessaloniciens 3:1-3).

Dans cette situation diabolique mondiale, qui porte atteinte à l’intégrité corporelle des hommes, des femmes, des enfants et même, aussi malheureusement, à celle des nourrissons, que doit faire le chrétien qui veut plaire à Jéhovah Dieu et à son Fils Jésus-Christ ?

Jéhovah demande à ce que chacun prenne soin de ce temple : "Je vous supplie donc, frères, par les compassions de Dieu, de présenter vos corps [comme] un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu : un service sacré avec votre raison" (Romains 12:1). Ce corps était conçu, dès le commencement pour un service sacré envers Dieu, c’est-à-dire, se conformer au dessein qu’il avait prévu au départ, au moment de la création d’Adam et Eve (Genèse 1:26-28).

La prise de médicament est une décision personnelle, en pesant les risques pour sa vie. Elle doit se faire dans un cadre médical, pour se soigner. Cette prise de médicament ne doit pas se faire sous la contrainte gouvernementale ou morale, par exemple dans le cadre d’une congrégation. Si tel était le cas, ces autorités gouvernementales, voir spirituelles, outrepasseraient l’article 1, du Code de Nuremberg qui interdit les expérimentations médicales sous la contraintes (Rappel: la thérapie génique mondiale en cours, est toujours officiellement, en phase d’expérimentation, par conséquent, elle rentre tout à fait dans le cadre juridique du Code de Nuremberg): "Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition (…)".(Extrait de l’article 1, du code de Nuremberg).

Dans le contexte actuel, le chrétien doit doubler de vigilance. Il doit s’abstenir de faire rentrer des produits chimiques expérimentaux, particulièrement pour des raisons qui n’ont rien à voir avec leur santé et celle de leurs propres enfants. Ces produits expérimentaux injectables, ont causé à ce jour, la mort des dizaines de milliers de personnes de par le monde, et ont rendu gravement malades, des milliers d’autres personnes (Pour plus d’informations voir VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System (www.vaers.hhs.gov))) (Seulement écrit en anglais). Ces injections géniques sont faites, pour la plupart, pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la santé des adultes et encore moins de celle des enfants, mais plutôt, sous des prétextes non médicaux de passe-droit, pour pouvoir aller au restaurant, au bowling ou d’autres endroits de plaisir, justifiés par des arguments complètement fallacieux et sous forme de chantage. D’autres personnes ont été forcées et menacées sous peine de perdre leur travail et leur source de revenus. Le fait d’exiger que pour aller dans un lieu, de se faire pénétrer un objet ou un produit dans notre corps, n’est en rien un acte médical, mais un acte de marquage, comme on le ferait pour des animaux, avant d’entrer dans un enclos, c'est une violation caractérisée de la dimension spirituelle et sacrée de l'intégrité du corps humain.

Les parents doivent réfléchir sérieusement à cette question, pour leurs enfants et pour eux, dans la prière pour faire face à cette situation étrange et parfois angoissante. Les enseignants de la Parole de Dieu doivent réfléchir sérieusement, avec beaucoup de prières, à cette question car cette situation n’a rien d’anodine sur le plan de la spiritualité biblique et plus généralement de l’éthique (Romains 14 :12). Il est tout à fait normal de se sentir désorienté, perplexe et surpris face à cette attaque extrêmement perverse de Satan le diable et de ses démons humains. Prions Jéhovah Dieu, demandons-lui son aide, Il est miséricordieux. Si nous pensons dans un premier temps ne pas avoir pris la meilleure décision, cela peut arriver à tout un chacun. Jéhovah Dieu voit nos bonnes intentions. Soyons courageux confions en Jéhovah Dieu et en son Fils bien aimé Jésus-Christ et ils nous soutiendront (Proverbes 3 :5,6). N’ayons pas peur et soyons forts, soutenons-nous les uns les autres, que ce soit en famille, entre amis, ou en congrégation, aimons-nous les uns les autres (Jean 13 :34,35).

LE CODE DE NUREMBERG (1947)

10 ARTICLES

1 Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée. Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative de, dirige ou travaille à l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément ;

2 L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature ;

3 L’expérience doit être construite et fondée de façon telle sur les résultats de l’expérimentation animale et de la connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou autre problème à l’étude, que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience ;

4 L’expérience doit être conduite de façon telle que soient évitées toute souffrance et toute atteinte, physiques et mentales, non nécessaires ;

5 Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront ; sauf, peut-être, dans ces expériences où les médecins expérimentateurs servent aussi de sujets ;

6 Le niveau des risques devant être pris ne doit jamais excéder celui de l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience ;

7 Les dispositions doivent être prises et les moyens fournis pour protéger le sujet d’expérience contre les éventualités, même ténues, de blessure, infirmité ou décès ;

8 Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence professionnelle doit être exigé tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent ;

9 Dans le déroulement de l’expérience, le sujet humain doit être libre de mettre un terme à l’expérience s’il a atteint l’état physique ou mental dans lequel la continuation de l’expérience lui semble impossible ;

10 Dans le déroulement de l’expérience, le scientifique qui en a la charge doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a été conduit à croire — dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence du plus haut niveau et du jugement prudent qui sont requis de lui — qu’une continuation de l’expérience pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet d’expérience.