Yomeliah

17.01.2018 11:32

Bonjour Fabrine:

Yomeliah

17.01.2018 11:19

Pour ce qui est de l’organisation qui semble coller au mieux principes bibliques, voir : http://www.yomelijah.com/435950023 et http://www.yomelijah.com/435950094

Yomeliah

17.01.2018 11:16

Ce site n’a pas d’affiliation précise à des organisations religieuses chrétiennes, mets-toi en contact avec la congrégation chrétienne qui te semble respecter au mieux les principes bibliques...

yomeliah

17.01.2018 11:08

Applique le conseil de Jacques 5 :14: "Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle à [lui] les anciens de la congrégation, et qu’ils prient sur lui, [l’]enduisant d’huile au nom de Jéhovah"

Fabrine

17.01.2018 08:35

Bonjour comment puis_je prend contact avec un ancien pour pardonner mes erreurs et envers mes enfants

BIBLE EN LIGNE        

ADORONS JÉHOVAH DIEU PAR LA PRIÈRE

Qui est Dieu?


Dans la Bible, il est écrit, qu’Il a les attribues d’une personne: Il a un nom écrit sous la forme d’un Tétragramme YHWH, que l’on trouve écrit plus de 7000 fois dans la Bible. Ce nom est vocalisé en français, Jéhovah: "Je suis Jéhovah. C’est là mon nom" (Esaïe 42:8). Il a de nombreuses qualités: "Dieu est amour" (1 Jean 4:8). "Jéhovah, Jéhovah, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère et abondant en bonté de cœur et en vérité" (Exode 34:6). C’est lui qui a créé toutes choses: "Tu es digne, Jéhovah, oui notre Dieu, de recevoir la gloire et l’honneur et la puissance, parce que tu as créé toutes choses, et à cause de ta volonté elles ont existé et ont été créées" (Apocalypse 4:11). Il a une présence: "Mais est-ce que vraiment Dieu habitera sur la terre? Vois! Les cieux eux-mêmes, oui le ciel des cieux, ne peuvent te contenir; combien moins donc cette maison que j’ai bâtie!" (1 Rois 8:27). Le fait même que sous inspiration, le roi Salomon dise que les cieux (l’univers) ne peuvent contenir sa présence, laisse entendre que les dimensions de sa présence est incommensurable et difficilement imaginable pour nous, simples humains. L’objectif principal de cette réponse condensée à cette vaste question, permet de faire ressortir l’idée très importante que Dieu est un esprit, avec des caractéristiques personnelles (et non impersonnelles) (Jean 4:24).(La question de qui est Dieu, est pleinement traitée sur la page intitulée "Enseignement Bible" et concernant son Nom (YHWH), sur la page "Jéhovah, Nom Révélé", du présent site (yomelijah.com)).


Comment le prier?


Il est très important, de comprendre que Jéhovah Dieu exige que notre relation avec Lui, soit absolument exclusive. Nos prières doivent être uniquement adressées à Jéhovah, selon le premier des Dix Commandements :

"Je suis Jéhovah ton Dieu, (…). Tu ne dois pas avoir d’autres dieux contre ma face. Tu ne dois pas te faire d’image sculptée, ni de forme qui ressemble à quoi que ce soit qui est dans les cieux en haut, ou qui est sur la terre en bas, ou qui est dans les eaux sous la terre. Tu ne dois pas te prosterner devant eux, ni te laisser entraîner à les servir, car moi, Jéhovah ton Dieu, je suis un Dieu qui exige un attachement exclusif" (Exode 20:2-5).

Jésus-Christ, le Fils de Jéhovah Dieu, a bien insisté sur l’aspect exclusif de l’adoration à Jéhovah Dieu: "Alors Jésus lui dit: “Va-t’en, Satan, car il est écrit: ‘C’est Jéhovah ton Dieu que tu dois adorer, et c’est à lui seul que tu dois offrir un service sacré"" (Matthieu 4:10).

Il s’agit tout simplement d’un rappel du premier des dix commandements: nous devons adorer uniquement Jéhovah. Nous ne devons pas adresser nos prières à Jésus-Christ, parce qu’il est le Fils de Dieu et non le Dieu tout-puissant. L’apôtre Pierre lui-même a désigné Jésus-Christ comme étant le Fils de Dieu. Après sa réponse correcte, Jésus-Christ a félicité l’apôtre Pierre: "En réponse Simon Pierre dit: “Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.” Jésus lui dit alors: “Heureux es-tu, Simon fils de Yona, parce que ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux"" (Matthieu 16:16,17). De plus, Jéhovah Dieu, ne fait pas partie d’une trinité. L’enseignement de la Trinité n’est pas biblique.

Notre relation avec Jéhovah Dieu, ne tolère aucun syncrétisme spirituel qui consisterait à mélanger des façons de prier Dieu, de manières bibliquement contradictoires. Par exemple, en associant d’autres dieux ou des "saints", à nos prières, ou encore en pratiquant l’idolâtrie.


Jésus-Christ, d’une façon indirecte, a bien dit de ne pas rendre un culte à sa mère, Marie (qui était vierge au moment de sa conception) (Luc 1:34,35). Voici ce qui est écrit à propos d’un hommage rendu, par une femme, à Marie, la mère de Jésus-Christ : "Or, comme il disait ces choses, une certaine femme éleva la voix du milieu de la foule et lui dit : “Heureuse est la matrice qui t’a porté, et les seins que tu as tétés ! ” Mais il dit : “ Non, mais plutôt : Heureux ceux qui entendent la parole de Dieu et la gardent !" (Luc 11:27,28). Il est vrai que Marie a été une "femme extrêmement favorisée", pour reprendre l’expression de salutation de l’ange Gabriel (Luc 1:28). L’occasion aurait été toute choisie, si cela avait été le cas, pour Jésus-Christ, de mentionner le culte marial. Or, Jésus-Christ n’a jamais mentionné le culte marial qui a des origines gréco-romaines, et n’a donc pas sa place dans la Bible.   

Dans un dialogue avec une femme samaritaine, Jésus-Christ a parlé de "vrais adorateurs", ce qui suppose une seule forme d’adoration acceptable aux yeux de Jéhovah Dieu et de son Fils Jésus-Christ : "Vous adorez, vous, ce que vous ne connaissez pas ; nous adorons, nous, ce que nous connaissons, parce que le salut vient des Juifs. Toutefois l’heure vient, et c’est maintenant, où les vrais adorateurs adoreront le Père avec l’esprit et la vérité ; le Père, en effet, cherche des hommes de ce genre pour l’adorer. Dieu est un Esprit, et ceux qui l’adorent doivent l’adorer avec l’esprit et la vérité" (Jean 4:22-24 comparer avec Matthieu 7:21-23).

Les "vrais adorateurs" doivent adorer Dieu avec "l’esprit", ou de façon spirituelle, sans objet religieux idolâtrique, telles qu’une croix, des statues, des images ou des médailles en relation avec le culte marial ou d’autres "saints". Si un chrétien a de tels objets, il doit s’en débarrasser ou les détruire (Actes 19:19,20). Le chrétien doit adorer Dieu avec la "vérité" exposée dans la Bible (Jean 17 :17 ; 2 Timothée 3 :16,17 ; 2 Pierre 1:20,21)). Le chrétien ne doit pas faire des gestes qui ne conviennent pas, bibliquement, avant et après la prière, tel que faire le signe de croix. C’est une pratique non biblique qui n’existait pas à l’époque des apôtres. Comme l’a dit, sous inspiration, l’apôtre Paul : "C’est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l’idolâtrie" (1 Corinthiens 10:14).


Le terme hébreu "yirâh" traduit par "crainte" de Jéhovah, dans le texte des Proverbes peut avoir le sens de "révérence", c'est-à-dire, crainte révérencielle (Strong's Concordance (H3374)) (Proverbes 2:1-9). Ce qui veut dire que la personne qui a atteint la maturité chrétienne, comprendra que sa relation avec Jéhovah est un grand privilège qu’il nous accorde. De plus, lorsque nous nous approchons de Dieu par la prière, nous pouvons le faire avec franchise, mais aussi avec une crainte révérencielle qui est due à la Personne la plus importante parce qu’il est le Créateur de toutes choses (Révélation 4:11).


Nous aimons Dieu, mais nous savons en même temps que nous ne devons pas dépasser certaines limites ou faire n’importe quoi, ce qui pourrait, à terme, couter la vie. En Malachie, il y a une belle description d’une relation paisible entre Dieu et un serviteur fidèle, voici ce que l’on peut lire: "Quant à mon alliance, elle était avec lui, alliance pour la vie et la paix, et je les lui donnais, avec la crainte. Et il me craignait; oui, à cause de mon nom il était terrifié. La loi de vérité était dans sa bouche, et il ne s’est pas trouvé d’injustice sur ses lèvres. Il a marché avec moi dans la paix et dans la droiture, et nombreux furent ceux qu’il a ramenés de la faute" (Malachie 2:5,6). Il est écrit que cet homme est "terrifié" ou dans l’effroi du Nom de Jéhovah car il en perçoit la majesté et la puissance redoutable qu’il induit. Néanmoins, cette "crainte" n’empêche pas cet homme d’être en paix avec Dieu et travailler avec Lui en harmonie.

Les conseils du Christ sur la prière

"De plus, quand vous priez, vous ne devez pas être comme les hypocrites ; parce qu’ils aiment prier debout dans les synagogues et aux coins des grandes rues, afin d’être vus des hommes. Vraiment, je vous le dis : Ils ont déjà leur pleine récompense. Toi, cependant, quand tu pries, entre dans ta chambre particulière et, après avoir fermé la porte, prie ton Père qui est là dans le secret ; alors ton Père qui regarde dans le secret te le rendra. Mais quand vous priez, ne redites pas toujours les mêmes choses, comme font les gens des nations, car ils pensent qu’ils seront entendus parce qu’ils parlent beaucoup. Donc, ne devenez pas comme eux, car Dieu votre Père sait de quoi vous avez besoin avant même que vous le lui demandiez. Vous devez donc prier ainsi : “‘Notre Père dans les cieux, que ton nom soit sanctifié. Que ton royaume vienne. Que ta volonté se fasse, comme dans le ciel, aussi sur la terre. Donne-nous aujourd’hui notre pain pour ce jour ; et remets-nous nos dettes, comme nous aussi avons remis à nos débiteurs. Et ne nous fais pas entrer en tentation, mais délivre-nous du méchant’" (Matthieu 6:5-13).

Ce qu'il faut retenir de la prière modèle

Convient-il de répéter cette prière, d’une façon mécanique, sans y réfléchir ? Sur la base des déclarations de Jésus-Christ, il est évident que non. Nous pouvons relire ce qu’il a dit sur le fait de ne pas répéter mécaniquement, sans réfléchir, toujours les mêmes choses dans nos prières : "Mais quand vous priez, ne redites pas toujours les mêmes choses, comme font les gens des nations" (Matthieu 6:7).

Nous devons prier Dieu avec amour et affection, comme lorsqu’un fils et une fille s’adressent à leur père qu’ils aiment profondément et sincèrement. Nous devons nous soucier pour son Nom, qu’Il soit sanctifié, ce qui inclut le désire de défendre son beau renom. Nous devons lui exprimer notre désir sincère que son dessein juste se réalise sur la terre (Matthieu 6:9,10). Nous comprenons que Jésus-Christ laisse bien entendre que nos prières, en général, doivent être un acte d’adoration tourné vers Dieu, en lui exprimant des louanges et notre profonde reconnaissance pour les nombreuses expressions d’amour qu’Il nous manifeste. Le livre des Psaumes, donne de nombreux exemples de louanges que nous pouvons adresser à Jéhovah Dieu, comme un encens spirituel agréable pour Lui : "Que ma prière soit préparée comme l’encens devant toi, l’élévation de mes paumes comme l’offrande de grain du soir" (Psaumes 141:2). Jéhovah Dieu est très sensible au fait que nous l’aimions et que nous le fassions savoir par nos paroles et notre conduite: "(Dieu) qui use de bonté de cœur envers la millième génération pour ceux qui m’aiment et gardent mes commandements" (Exode 20:6). Par nos prières et notre comportement, répondons à son amour qu’Il nous manifeste, en aimant Dieu en retour. Le Psaume 145, est très riche en louanges adressées à Dieu : "Je veux t’exalter, ô mon Dieu le Roi, et je veux bénir ton nom pour des temps indéfinis, oui pour toujours" (Psaumes 145:1).

Ensuite, nous pouvons prier Dieu, en évoquant plus particulièrement nos besoins personnels, tels que le fait qu’Il nous aide sur le plan spirituel et matériel. Nous pouvons faire part à Dieu de nos sentiments les plus intimes qui nous préoccupent, ou Lui exprimer notre joie en actions de grâce (Le livre biblique des Psaumes est un précieux recueil poétique de sentiments exprimés à Dieu). Jésus-Christ, dans la dernière partie de la prière, nous encourage à demander à Dieu qu’il nous aide à lutter contre nos faiblesses, que le diable exploite pour nous tenter et ainsi porter atteinte à notre intégrité (Matthieu 6:11-13 ; Romains 7 :21-25) (Les enseignements élémentaires de la Bible (Sens interdit)).

En Matthieu 6:14,15, Jésus-Christ montre que la qualité de notre relation avec Dieu, dépend de la relation que nous avons avec notre prochain : "Car si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi ; mais si vous ne pardonnez pas aux hommes leurs fautes, votre Père non plus ne vous pardonnera pas vos fautes" (Matthieu 5:23,24 ; 1 Jean 3:15 ; 4:8).


Est-ce à dire que le chrétien est dans l’obligation de tout pardonner? Comme tout enseignement biblique, il faut se baser sur le contexte des déclarations du Christ. En Matthieu 6:14,15, Jésus-Christ montre que les humains doivent absolument pardonner les péchés de leur prochain. Cependant, cette injonction au pardon s’inscrit dans le cadre d’une relation humaine normale parsemée, bien souvent de tensions, d’offenses plus ou moins graves. En remontant dans le contexte de ce commandement du pardon à son prochain, en Matthieu 5:23,24, nous avons la confirmation que ce pardon exigé, est dans un cadre quotidien de la relation humaine, qui nécessite très souvent des ajustements pour parvenir à des relations sereines, au jour le jour. Et le pardon, permet d’apaiser les tensions, et d’apprendre à se supporter les uns les autres (Romains 15:1,2).


Pour en revenir à la question du pardon de 7 fois, mentionné par l’apôtre Pierre, et de la réponse du Christ du pardon de 77 fois, Jésus-Christ insiste plus sur la nature du pardon. En effet, si une personne se dit en elle-même, je vais lui pardonner 7 fois, pardonne-t-elle vraiment à son prochain, en tenant une comptabilité des péchés ? La réponse du Christ, rend un tel décompte plus difficile. Ce qui veut dire que la personne qui pardonne à son prochain, le fera de tout son cœur, sans rancœur résiduelle qui la pousserait à faire un décompte. Si nous avons compris que Jésus-Christ, en Matthieu 18, insiste sur la bonne qualité du pardon de tout cœur, alors nous comprendrons aussi, selon le contexte de ce même chapitre, qu’il ne s’agit pas d’une invitation à tout pardonner.


La question de l’apôtre Pierre sur le fait de pardonner sept fois, vient justement sur une déclaration du Christ qui décrit une situation qui pourrait aboutir au fait de ne pas pardonner: "De plus, si ton frère commet un péché, va exposer sa faute entre toi et lui seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère. Mais s’il n’écoute pas, prends avec toi une ou deux autres personnes, pour que sur le dire de deux ou trois témoins toute affaire soit établie. S’il ne les écoute pas, parle à la congrégation. S’il n’écoute pas non plus la congrégation, qu’il soit pour toi comme un homme des nations et comme un collecteur d’impôts" (Matthieu 18:15-17). Ce texte n’est pas à confondre avec Matthieu 5:23,24 car Jésus-Christ, en Matthieu 18, mentionne que la nature des péchés nécessiterait, en cas de déni du coupable, l’intervention de deux ou trois témoins et ensuite celle des autorités spirituelles de la congrégation chrétienne. Ce sont des péchés graves liés à la calomnie qui portent atteinte à la bonne réputation d’une personne, ou encore des problèmes de reconnaissances de dettes, voir plus grave, d’escroqueries.


S’ajoutent à cela des péchés extrêmement graves (qui ne rentrent pas dans le cadre de Matthieu 18:15-17, mais qui son du ressort de la justice policière et de celle des tribunaux), les crimes de sang et les crimes sexuels, tels que le viol et la pédophilie. Bien évidemment, que les victimes d’actes aussi abjects, ne sont pas concernées par le pardon mentionné en Matthieu 18:21-35. Dans ces situations extrêmement douloureuses, ce sont les victimes ou la famille des victimes, qui décident en conscience de pardonner ou pas. Quoiqu’il en soit, c’est Dieu, par le moyen du Christ roi qui jugera l’œuvre de chacun: "Ainsi donc, chacun de nous rendra compte à Dieu pour soi-même" (Romains 14:12).

Est-il obligatoire de conclure la prière par la phrase, "par l'intermédiaire de Jésus-Christ je t'adresse cette prière" ? En examinant la prière modèle et quelques autres prières faites par les disciples, dans les Écritures Grecques Chrétiennes, il ne semble pas que ce soit obligatoire (Actes 2:24,25 ; 4:24-30). Bien évidemment, Jésus-Christ a bien mentionné que les prières sont adressées en son nom : "De plus, tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié au sujet du Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai" (Jean 14:13,14). Par conséquent, si nous désirons conclure nos prières en mentionnant la médiation du Christ, nous pouvons le faire (1 Timothée 2:5). Que nous le fassions ou pas, l’essentiel est notre foi que cette prière sera écoutée par l’intermédiaire du Christ, dans la mesure où elle est conforme à la volonté de Dieu (Matthieu 7:21-23). Par contre, il convient de conclure la prière par un AMEN (1 Corinthiens 14:16).


Il faut persévérer dans la prière


"Continuez à demander, et on vous donnera; continuez à chercher, et vous trouverez; continuez à frapper, et on vous ouvrira. Car tout homme qui demande reçoit, et tout homme qui cherche trouve, et à tout homme qui frappe on ouvrira. Oui, quel est l’homme d’entre vous à qui son fils demande du pain — il ne lui remettra pas une pierre, n’est-ce pas? Ou peut-être demandera-t-il un poisson — il ne lui remettra pas un serpent, n’est-ce pas? Si donc vous, bien que vous soyez méchants, vous savez donner des dons qui sont bons à vos enfants, combien plus votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui le lui demandent!" (Matthieu 7:7-11).


Jésus-Christ dit que si nous voulons obtenir la bénédiction de Dieu, nous devons insister et persévérer dans la prière. Dans une autre illustration, il a montré comment une veuve, à force d’insister auprès d’un juge injuste, a pu obtenir qu’on lui fasse justice: "Puis il leur donna un exemple concernant la nécessité pour eux de prier toujours et de ne pas renoncer; il dit: “Dans une certaine ville il y avait un certain juge qui ne craignait pas Dieu et ne respectait pas l’homme. Mais il y avait une veuve dans cette ville et elle allait sans cesse vers lui, en disant: ‘Fais en sorte que j’obtienne justice contre mon adversaire.’ Eh bien, pendant un certain temps il a refusé, mais ensuite il s’est dit: ‘Bien que je ne craigne pas Dieu et ne respecte pas l’homme, en tout cas, parce que cette veuve me cause continuellement des ennuis, je vais faire en sorte qu’elle obtienne justice, de peur qu’elle ne vienne jusqu’au bout me bourrer de coups.’” Alors le Seigneur dit: “Écoutez ce que ce juge, bien qu’injuste, a dit. Et Dieu donc, est-ce qu’il ne fera pas en sorte que justice soit rendue à ceux qu’il a choisis [et] qui crient vers lui jour et nuit, même s’il est patient envers eux? Je vous le dis: Il fera que justice leur soit rendue rapidement. Toutefois, lorsque le Fils de l’homme arrivera, trouvera-t-il vraiment la foi sur la terre?”" (Luc 18:1-8).


Approchons-nous de Dieu modestement et humblement


"Il donna alors un exemple aux invités, parce qu’il remarquait comment ils se choisissaient les places les plus en vue; et il leur disait: “Quand tu es invité par quelqu’un à un festin de mariage, ne va pas te coucher à la place la plus en vue. Il se pourrait que, le même jour, quelqu’un de plus honorable que toi ait été invité par lui, et celui qui vous a invités, toi et lui, viendra te dire: ‘Laisse la place à cet homme.’ Et alors tu commenceras avec honte à aller occuper la dernière place. Mais quand tu es invité, va t’étendre à la dernière place, pour que, quand viendra celui qui t’a invité, il te dise: ‘Mon ami, monte plus haut.’ Alors il y aura pour toi de l’honneur devant tous les autres convives. Car tout homme qui s’élève sera humilié, et celui qui s’humilie sera élevé”" (Luc 14:7-11).


Dans une autre illustration, Jésus-Christ montre comment une personne peut se révéler humble ou orgueilleuse, sur la base du point de vue qu’elle a d’elle-même. Cette seconde illustration, servira de commentaire à la première, d’autant plus que Jésus-Christ l’a conclue de la même manière: "Mais il donna aussi cet exemple pour certains qui avaient en eux-mêmes la conviction d’être justes et considéraient les autres comme rien: “Deux hommes sont montés au temple pour prier, l’un était un Pharisien, l’autre un collecteur d’impôts. Le Pharisien s’est tenu là et s’est mis à prier ainsi en lui-même: ‘Ô Dieu, je te remercie de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes: extorqueurs, injustes, adultères, ou bien encore comme ce collecteur d’impôts. Je jeûne deux fois par semaine, je donne le dixième de tout ce que j’acquiers.’ Or le collecteur d’impôts, se tenant à distance, ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant: ‘Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, un pécheur.’ Je vous le dis: Celui-ci est descendu chez lui s’étant révélé plus juste que cet [homme-]là; parce que tout homme qui s’élève sera humilié, mais celui qui s’humilie sera élevé”" (Luc 18:9-14).


Ce qui est vrai sur un plan individuel, l’est sur le plan d’une congrégation. De même qu’une personne peut se révéler humble et modeste ou orgueilleuse et présomptueuse, de même, une congrégation dans son ensemble peut avoir une réputation d’humilité ou au contraire, d’arrogance. Prenons l’exemple de deux congrégations parmi les sept que Jésus-Christ glorifié a discipliné: La congrégation de Sardes et la congrégation de Smyrne.


La congrégation de Sardes avait un état d’esprit arrogant, et dans son message, Jésus-Christ l’a reprend très sévèrement: "Et à l’ange de la congrégation qui est à Sardes, écris: Voici les choses qu’il dit, celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles: ‘Je connais tes actions et je sais que tu as renom d’être vivant, mais tu es mort. Deviens vigilant, et fortifie les choses qui restent et qui étaient près de mourir, car je n’ai pas trouvé tes actions pleinement accomplies devant mon Dieu. Rappelle-toi donc sans cesse comment tu as reçu et comment tu as entendu, et continue à le garder, et repens-toi. Oui, à moins que tu ne te réveilles, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas du tout à quelle heure je viendrai sur toi"(Révélation 3:1-3). De tout évidence, cette congrégation avait le même état d’esprit que ce pharisien très autosatisfait de sa personne, et qui au passage dénigrait ceux qui n’étaient pas comme lui.


La congrégation de Smyrne manifestait un état d’esprit complètement différent: "Et à l’ange de la congrégation qui est à Smyrne, écris: Voici les choses qu’il dit, ‘le Premier et le Dernier’, qui est devenu un mort et a repris vie: ‘Je connais ta tribulation et ta pauvreté — mais tu es riche — et le blasphème de ceux qui disent qu’ils sont, eux, des Juifs, et pourtant ils ne le sont pas, mais ils sont une synagogue de Satan. N’aie pas peur des choses que tu es sur le point de subir. Écoute! Le Diable continuera de jeter quelques-uns d’entre vous en prison pour que vous soyez pleinement mis à l’épreuve, et pour que vous ayez une tribulation pendant dix jours. Montre-toi fidèle jusqu’à la mort, et je te donnerai la couronne de vie. Que celui qui a une oreille entende ce que l’esprit dit aux congrégations: Le vainqueur — il ne lui sera fait aucun mal par la deuxième mort’"(Révélation 2:8-11).


Tout comme sur un plan individuel nous devons rester vigilants concernant notre état d’esprit, sur l’appréciation que nous avons de nous-mêmes, de même les bergers des différentes congrégations, doivent veiller à maintenir un bon état d’esprit d’amour, d’humilité et de modestie, les uns envers les autres: "Car, en vertu de la faveur imméritée qui m’a été donnée, je dis à chacun d’entre vous de ne pas penser de lui-même plus qu’il ne faut penser; mais de penser de manière à être sain d’esprit, chacun selon la mesure de foi que Dieu lui a donnée en partage. (…) Ayez même pensée les uns pour les autres; ne pensez pas à ce qui est élevé, mais laissez-vous entraîner avec ce qui est humble. Ne devenez pas avisés à vos propres yeux" (Jean 13:34,35; Romains 12:3,16).

Convient-il d’avoir une attitude particulière pour prier ?

La Bible évoque plusieurs positions du corps et attitudes, qui expriment le respect et la déférence envers Dieu : Il n’y a aucune règle stricte. Notre attitude ou position corporelle, dépendra des circonstances :

- S’agenouiller (Actes 9:40 ; 21:5).

- Baisser les yeux et la tête (Luc 18:13).

- Lever les yeux au ciel ou présenter sa face à Jéhovah (Jean 11:40 ; Job 42:8 "Job mon serviteur priera pour vous. Sa face seule je l’agréerai").

- Ouvrir et lever les mains (Psaumes 141:2 "l’élévation de mes paumes comme l’offrande de grain du soir").

Ce sont les circonstances liées à la crainte révérencielle de Dieu, le discernement chrétien et le respect des usages humains locaux (dans la mesure où elles sont conformes à la Bible), si nous sommes dans le contexte d’une congrégation chrétienne locale, qui nous dicteront l’attitude respectueuse à avoir (Hébreux 5:14).


Es-tu un fils de Dieu ?


"Car tous ceux qui sont conduits par l’esprit de Dieu,

ceux-là sont fils de Dieu!"

(Romains 8:14)


Cette question est uniquement dans le contexte biblique, et particulièrement de la lettre aux Romains, chapitre 8. La réponse se basera sur le contexte du chapitre 8, afin de savoir si, le statut de "fils de Dieu" est uniquement réservé à une catégorie de chrétiens, par exemple, ceux qui ont l’espérance céleste de faire partie des 144000, ou à l’ensemble des chrétiens, incluant ceux qui on une espérance terrestre (Apocalypse 7:1-8 (les 144000) ; 7:9-17 (la grande foule qui survivra à la grande tribulation). Afin que le lecteur puisse vérifier par lui-même, le contexte révèle deux points importants:


1 – L’apôtre Paul ne parle à aucun moment directement, de deux catégories de chrétiens, mais plutôt de deux catégories d’humains, ceux qui vivent selon les désirs charnels, et ceux (les chrétiens fidèles) qui vivent en se laissant guider par l’esprit saint.


2 – L’apôtre Paul n’évoque pas l’espérance de la vie éternelle, en faisant directement une différence entre la vie éternelle au ciel et la vie éternelle dans le futur paradis terrestre.


Examinons le contexte de Romains chapitre 8: "Ceux donc qui sont en union avec Christ Jésus n’ont pas de condamnation. Car la loi de l’esprit qui donne la vie en union avec Christ Jésus t’a libéré de la loi du péché et de la mort. Car — comme il y avait une impuissance du côté de la Loi, pendant qu’elle était faible du fait de la chair — Dieu, en envoyant son propre Fils dans la ressemblance de la chair pécheresse et à propos du péché, a condamné le péché dans la chair, pour que la juste exigence de la Loi soit accomplie en nous qui marchons, non pas selon la chair, mais selon l’esprit. En effet, ceux qui vivent selon la chair pensent aux choses de la chair, mais ceux qui vivent selon l’esprit, aux choses de l’esprit. Penser à la chair, en effet, signifie la mort, mais penser à l’esprit signifie vie et paix ; parce que penser à la chair signifie inimitié contre Dieu, car elle n’est pas soumise à la loi de Dieu, et même, elle ne peut pas l’être. Ceux donc qui vivent selon la chair ne peuvent plaire à Dieu.


Cependant, vous vivez, non pas selon la chair, mais selon l’esprit, si vraiment l’esprit de Dieu habite en vous. Mais si quelqu’un n’a pas l’esprit de Christ, celui-là ne lui appartient pas. Mais si Christ est en union avec vous, le corps est bien mort à cause du péché, mais l’esprit est vie à cause de la justice. Si donc l’esprit de celui qui a relevé Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a relevé Christ Jésus d’entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels grâce à son esprit qui réside en vous" (Romains 8:1-11).


Dans les versets 1 à 8, l’apôtre Paul, décrit ceux qui marchent selon la chaire: "En effet, ceux qui vivent selon la chair pensent aux choses de la chair, mais ceux qui vivent selon l’esprit, aux choses de l’esprit" (verset 5). Ce verset résume très bien, le contraste entre ces deux catégories d’humains, ceux qui vivent selon des désirs charnels, et ceux qui vivent selon l’esprit.


Dans les versets 9 à 11, tout décrivant ceux qui sont "fils de Dieu", par adoption, répète la différence entre deux catégories d’humains, d’une manière différente: "Cependant, vous vivez, non pas selon la chair, mais selon l’esprit, si vraiment l’esprit de Dieu habite en vous. Mais si quelqu’un n’a pas l’esprit de Christ, celui-là ne lui appartient pas" (verset 9).


"Ainsi donc, frères, nous sommes tenus, mais non envers la chair pour vivre selon la chair ; car si vous vivez selon la chair, vous mourrez à coup sûr ; mais si par l’esprit vous faites mourir les pratiques du corps, vous vivrez. Car tous ceux qui sont conduits par l’esprit de Dieu, ceux-là sont fils de Dieu. Car vous n’avez pas reçu un esprit d’esclavage inspirant de nouveau la crainte, mais vous avez reçu un esprit d’adoption comme fils, par lequel nous crions : “ Abba, Père ! ” L’esprit lui-même témoigne avec notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Si donc nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : oui, héritiers de Dieu, mais cohéritiers de Christ, pourvu que nous souffrions avec lui pour être aussi glorifiés avec lui" (Romains 8:12-17).


Le verset 17, semble ne s’appliquer qu’aux 144000: "Si donc nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : oui, héritiers de Dieu, mais cohéritiers de Christ, pourvu que nous souffrions avec lui pour être aussi glorifiés avec lui". Lorsque l’apôtre Paul écrit que ceux qui sont enfants de Dieu, sont aussi cohéritiers de Christ, il semble faire allusion à l’héritage céleste avec Jésus-Christ (même s’il n’est pas directement mentionné) (Voir Apocalypse 14:1-5, les 144000 sur le mont Sion (dans les cieux), avec le roi Jésus-Christ). De plus, les versets précédents semblent décrire ce processus qui permet à un chrétien, de savoir qu’il a l’appel céleste (d’être cohéritier de Christ): "Car vous n’avez pas reçu un esprit d’esclavage inspirant de nouveau la crainte, mais vous avez reçu un esprit d’adoption comme fils, par lequel nous crions : “Abba, Père !” L’esprit lui-même témoigne avec notre esprit que nous sommes enfants de Dieu" (verset 15,16). À ce stade de l’examen, la question qui se pose, est la suivante, si semble-t-il, l’apôtre Paul applique l’expression "enfants de Dieu", aux cohéritiers de Christ (les 144000), est-ce à dire qu’il ne s’applique pas à l’ensemble des Chrétiens qui vivent selon l’esprit, et qui ont l’espérance terrestre ? Une fois de plus il faut examiner le contexte de Romains 8.


"Aussi j’estime que les souffrances de l’époque présente ne pèsent rien en comparaison de la gloire qui va être révélée en nous. Car l’attente impatiente de la création attend la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la futilité, non de son propre gré, mais à cause de celui qui l’a soumise, en raison de l’espérance que la création elle aussi sera libérée de l’esclavage de la corruption et aura la liberté glorieuse des enfants de Dieu. Car nous savons que jusqu’à maintenant toute la création ne cesse de gémir ensemble et de souffrir ensemble. Et non seulement cela, mais nous aussi, qui avons les prémices, à savoir l’esprit, oui nous gémissons en nous-mêmes, tandis que nous attendons ardemment d’être adoptés comme fils, d’être libérés de notre corps par rançon. Car nous avons été sauvés dans [cette] espérance ; mais une espérance qu’on voit n’est pas une espérance ; car lorsqu’un homme voit quelque chose, l’espère-t-il ? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous continuons à l’attendre avec endurance" (Romains 8:18-25).


Le verset 19 semble faire allusion, uniquement aux 144000: "Car l’attente impatiente de la création attend la révélation des fils de Dieu" (Voir 1 Jean 3:2: "Bien-aimés, maintenant nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté. Cependant, nous savons que lorsqu’il sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est").


Néanmoins, les versets 20,21 font allusion à l’ensemble de l’humanité: "Car la création a été soumise à la futilité, non de son propre gré, mais à cause de celui qui l’a soumise, en raison de l’espérance que la création elle aussi sera libérée de l’esclavage de la corruption et aura la liberté glorieuse des enfants de Dieu". Cependant, certains diront que cette libération définitive aura lieu à la fin du règne millénaire du Christ. Cette interprétation semble juste conformément à Apocalypse 20:5a: "Le reste des morts n’ont pas pris vie jusqu’à ce que les mille ans soient achevés". Il convient de mentionner que tout comme l’apôtre Paul emploie l’expression "création" pour désigner l’humanité terrestre dans son ensemble, de même, Apocalypse 20:5a s’applique à l’humanité dans le paradis, dans son ensemble. Sur un plan individuel, l’humain (le chrétien fidèle) qui vit actuellement et dans le futur paradis terrestre, selon l’esprit, selon le contexte de Romains 8, peut être appelé "fils de Dieu" en étant simplement héritier de Dieu, sans nécessairement être cohéritier du Christ à la manière des 144000: "Si donc nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers: oui, héritiers de Dieu" (verset 17).


Le fait même que l’apôtre Paul ajoute, "mais cohéritiers de Christ", semble appuyer l’idée que les "héritiers de Dieu" représentent l’ensemble de l’humanité obéissante et que les "cohéritiers de Christ", dans ce contexte, concernent les 144000. Il est tout à fait logique, toujours selon le contexte de Romains 8, de considérer les chrétiens fidèles ayant l’espérance terrestre, comme des "enfants de Dieu" qui seront ses héritiers, en vue de la vie éternelle. Il convient de rappeler qu’en Romains 8, l’apôtre Paul écrit que les "enfants de Dieu" vivent selon l’esprit, et c’est tout à fait le cas des chrétiens fidèles qui ont l’espérance terrestre. De plus, s’il est évident que l’expression de "cohéritiers de Christ" a un sens restrictif en Romains (8:12-17), s’appliquant seulement aux 144000, cette expression peut tout à fait s’appliquer actuellement aux chrétiens fidèles qui ont l’espérance terrestre, dans le sens large de Luc 23:43: "Tu seras avec moi dans le Paradis". Les chrétiens actuellement fidèles et qui ont l’espérance terrestre, seront, dans un sens large, "cohéritiers de Christ", car ils seront avec lui dans le Paradis… 


Enfin, il est aussi bon de se rappeler comment commence la prière du Notre Père: "Notre Père dans les cieux" (Matthieu 6:9)… Si Jésus-Christ demande à ce que l’on prie son Père ainsi, c’est bien la preuve que Dieu n’attendra pas mille ans pour considérer dès à présent, que les chrétiens fidèles qui ont l’espérance terrestre, sont ses enfants, les enfants de Dieu… "Car tous ceux qui sont conduits par l’esprit de Dieu, ceux-là sont fils de Dieu!" (Romains 8:14)...

Commentaires

Derniers commentaires

28.11 | 19:44

Bonjour. Non. Tu dois suivre le modèle du Christ qui ne s'est pas baptisé lui-même, ou tout seul, mais par un baptiseur, serviteur de Dieu... Cordialement...

28.11 | 16:54

Bonjour, étant non-voyant le baptême est-il valable si je m’immerges avec une prière ? Cordialement.

24.11 | 21:56

Bonjour Jonathan, je t'invite à te rapprocher des anciens de ta congrégation qui seront en mesure de répondre à ta question. Je n'ai pas suffisamment d'information pour te répondre. Cordialement.

24.11 | 20:45

Bonjours, le baptême est-il valable en s’immergeant soi-même dans l’eau pour des raisons de handicape ? Cordialement

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